Evénement Halloween ||.Play with me ♥ | Rabbit Doubt|

Le pied cassé c'est bien ma veine ça mais, bon je crois que je l'ai bien cherché à voir démolir cette porte en fer neuf. La jeune fille qui s'est réveillé dans la même salle que moi m'aide à me relever pour me tenir sur mon pied encore en état, je lui montre le mur et elle m'amène là-bas je m'appuie contre et lui dit en anglais bien sûr, car je crois que je ne l'ai pas encore entendu parler et puis quand on était dans la salle elle m'a parlée anglais :

-Thanks

J'ai trop mal au pied que je me rassois par terre pour que mon pied se repose quand j'entends les paroles de la jeune fille aux cheveux couleur corail parler, elle demande mon nom, autant lui dire puisque je crois qu'on va rester un bout de temps ensemble :

-Moi c'est blue et toi ?

Voilà ça c'est fait et en même temps je regarde la pièce en espérant trouver une paire de béquille mais, j'ai l'impression qu'il y en a pas.

Evénement Halloween ||.Play with me ♥ | Rabbit Doubt| - Page 4 Le_nar12

Mise en Situation.

Le code de Sophie ne marche pas ! Il va falloir essayé autre chose joueur de la salle 1 ...

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Je soupirais il fallait essayer tout les code-barres? Bon et bien...je me plaça de dos face au prétendue scanner (vu que je jugeais mon code présent dans mon dos)-je savais maintenant se que ressentait un radis en passant à la caisse au super-marché-, je voulais à tout prix que sa marche, il fallait que sa marche allé!Je me surpris à lacher un
"s'il te plais!" Par la même occasion.

~ Salle d'attente - Scanner

Touko s'était approchée de moi pour regarder l'endroit qui me démangeait. Elle me confirma la présence d'un code barre, ajoutant que tout le monde devait en avoir un. J'hochais la tête affirmativement suite à sa phrase, tout le monde commence à trouver son code barre, on devait donc logiquement en avoir tous un. Silence restait contre moi, proposant qu'on dise tous nos nom pour qu'on s'aborde plus facilement, c'est vrai que je ne connaissais pas le nom de certaine personne, notamment la fille avec ses cheveux violets. Je dis alors :

- Moi c'est Fubuki Shirou...

Je préférais ne pas dire que j'étais enchanté de les connaître, vu la situation, je pense pas que ça soit adapté. Silence nous fit également remarquer la présence d'un scanner, je pensais tout de suite qu'il devait y avoir un lien avec nos codes barre. Mais de quel côté était la "clé" ? Je pense qu'eux aussi ont remarqués le scanner de l'autre côté, donc pas la peine de leur faire remarquer. Je m'approchais à mon tour de ce scanner, tenant toujours Silence contre moi. Je me baissais un peu en relevant mes cheveux pour que le scanner détecte mon code barre. Sophie avait également essayée de passer son code, mais il n'était pas compatible avec la porte. Un autre jeune homme avait également tenter de passer son code barre, manque plus qu'à découvrir si un des notre fonctionne.

Mise en Situation.

Un claquement se fit entendre, la porte est de nouveau ouverte ! Faite bien attention la prochaine fois, qui sait, vous pouvez très bien tombé sur des portes ne comportant aucune clé encore vivante ...

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Salle d'attente

La fille que je supportais me désigna un mur ou je la déposa avec le plus de délicatesse possible.
- Thanks. dit-elle avant de se laisser glisser contre le mur.

Une simple parole qui me fit sursauter de surprise : si elle parlait un peu l'anglais, peut être que d'autres pourraient me comprendre.

Avant que je ne prenne ma respiration pour parler (pour dire quoi d'ailleurs ?), je vis du mouvement du cote de la porte que j'avais ferme accidentellement quelques instants auparavant. Et une tête qui tourne, une !
Quelques unes des personnes tentaient de... Quoi ? Ils passaient tous une partie de leur corps sous une sorte d'excroissance. Mais que pouvaient-ils faire ? Soudain, je réalisa que chacun d'entre nous avait des traits sombres. C’était donc des codes-barres ? Remontant ma main droite vers mes yeux, je l'observa attentivement. En effet, c’était bien ça.

Reportant mon attention sur l’assemblée, un claquement se fit entendre. Le garçon qui avait l'air d'être en couple avait apparemment réussi à provoquer l'ouverture. Mes membres commencèrent de nouveau à trembler : j'avais peur de la réaction des autres qui étaient restés dans l'autre salle lorsqu'ils sauraient que j’étais responsable de cette fermeture accidentelle.
Doucement et inconsciemment, je reculais vers une zone sombre de la salle d'attente.

Salle 1 - On passe vers la salle d'attente.

La réflexion d'Endou vient de faire n'est pas bête du tout, et la fille aux cheveux blancs me donne l'impression d'être du même avis que moi. Mais oui ! Pour ouvrir la première porte tout à l'heure, je me suis adossé à la paroi métallique ! Mon code barre se trouvant au niveau de mon épaule, il a du débloquer et agir malgré ma volonté comme une clef ! Si c'est ça, nous sommes sauvé. Une lueur d'espoir me réchauffe et me fait soupire de réconfort.

« ... Oui, mais si ce n'est pas le bon ? » dit la fille, me refroidissant d'un coup. « Je préfère pas imaginer ... »

Je trouve sa réflexion inquiétante, mais elle n'y croit peut être elle même pas plus que cela, car elle ose après quelques secondes seulement s'en approcher, et ce de son plein gré. Je retient mon souffle, mais rien ne se passe, ni de bon, ni de mauvais. Au moins, je me console en me disant que le pire n'est pas arrivé. Mais pourtant, je suis toujours sur l'idée que nos codes barres peuvent s'avérer être des clefs. Et si n'importe quel code barre n'ouvrait pas n'importe quelle porte ?
Je dois partager cet avis avec d'autre victimes de la salle car quelqu'un s'approche à son tour de la porte, peut être rendu plus sur de lui par l'absence de catastrophe suivant l'échec de la première volontaire. J'y croit moyennement mais un déclic me libère de mon pessimisme.

« Bien joué ! » Je lance à la personne en apparence responsable de l'ouverture de la porte.

Je ne me fait pas prier davantage pour débouler dans la pièce suivante, aux allures de salle d'attente, mais derrière la porte, je retrouve d'autre personne, connues ou non de ma mémoire. Vu leurs positions, peut être qu'eux aussi on essayé de scanner leurs codes barres ? Embarquant Endou avec moi, comme une rampe à la quelle je pourrait me cramponner, je récapitule à voix haute ce que tout le monde à certainement déjà remarquer ;

« Alors les codes barres sont des clefs ? »

Je lance un regard suspicieux à la fille qui, tout à l'heure, avait - je crois - provoquer la fermeture de la porte dans sa chute, mais je ne vait quand même pas l'engueuler. Je ne suis même pas sure qu'elle comprenne, à en juger par son air perdu. Et puis, cela nous a permis une découverte qui va nous faciliter la vie tant que nous sommes dans ce sombre bâtiment. Bien que sur les nerfs, comme nous tous, je me contente de l'avoir à l'oeil.

salle d'attente

Un tourbillon de sentiment emporte la salle, me noyant encore plus alors que je me tenais toujours à coté du seul être connut.
Colère.
La jeune fille qui c'était accroupie dans un coin se releva, et vida sa rage contre la porte d'un violent coup de pied. C'est stupide. Très stupide. Silence venait à peine de dire que les porte étaient en métal, à quoi avait-elle pus penser ? Elle recula vivement, enlevant sa chaussure.
Douleur.
Elle avait mal. Son pied enflait à vue d'œil. Quelle idée stupide. Maintenant, elle était estropier, en cas de fuite elle serait un poids.
Pourquoi je pense à ça moi ? En cas de fuite, n'importe quoi !
Incompréhension.
Celle qui avait fermé la porte se dirigea vers la blesser, malgré son état pas encore très glorieux, et la souleva pour l'éloigner et sans doute trouver quelque chose d'utile pour elle. Jusqu'ici, elle semblait un peu perdue, et n'avait pas dit un mot. Pourquoi ?
Elle l'emmène jusqu'à un mur que lui avait montré la blessée. Celle-ci la remercie d'un "Thanks". De l'anglais ? Ne parle-t-elle pas la même langue que nous ?
Panique.
Une fille que je n'avais pas encore remarquée se tenait dans le fond de la salle, regardant en tout sens, cherchant un moyen de s'enfuir. Un lapin effrayé, pris au piège. Nous l'étions tous au final.
Tristesse.
Silence pleur toujours, mais un peu moins. Elle commence à s'en remettre. J'ai une pensée égoïste pour elle : Heureusement que Fubuki est là. Moi-même, j'aimerai que Tsunami soit vivant, et avec moi, même si cette condition est surement pire que la mort. Mais je sais que là, c'est réellement fichu. Pire, même si on sort, jamais je ne le reverrais sourire. La dernière image qu'il me reste de lui, c'est le cadavre pendu au plafond.
Les larmes remontent, je les refoule. Je ne veux plus pleurer.
Curiosité.
Silence pose enfin une question qui rompt le silence pesant.

- Je sais que le moment est mal choisit, mais...Pourrait-on dire nos noms? C'est que c'est bien plus facile d'aborder les autres ainsi...

Elle regarda rageusement la porte, puis une lueur de surprise s'éclaira dans ses yeux vairons:

- On dirait un scanner...ou quelque chose du même style...[/quote]

Celle qui avait tapé dans la porte c'était rassit, cherchant des yeux des béquilles ou un truc long pour faire pareille. Elle répond la première à la question :

-Moi c'est blue et toi ?

Fubuki enchaina :

- Moi c'est Fubuki Shirou...

Je me décider à répondre, tout en me dirigeant vers le fond de la salle, pour chercher un truc pour la dénommé Blue.

– Je m'appelle Zaizen Touko

Je suppose que cette fois ci, j'aurai une chance d'échapper aux éternelles remarques du à mon père. Je ne trouve rien de très intéressant, rien qui puisse soulager Blue en tout cas. Peut être dans le reste du bâtiment …
Je retourne vers le groupe, me tourne vers la jeune qui jusqu'ici n'avait dit et j'essaye, d'après la façon dont lui parlé Blue, avec mon anglais très approximatif et scolaire :

- Do you speak english ?

Derrière moi, celle qui ne nous avait pas encore dit son nom et qui semblait totalement sur les nerfs ne garda que les dernière paroles de Silence, qui n'étaient pas vraiment arrivé jusqu'à moi. Elle proposa d'essayer avec les codes barres. Pourquoi pas. Elle dit à Silence d'essayer. Pourquoi elle ? En tout cas, l'inconnue n'attendit pas très longtemps avant d'aller elle-même devant le scanneur, exposant son dos, avec une légère prière à je en sais quel dieu.
Cela ne marcha pas, mais Fubuki s'avança tout de suite après, exposant son coup, et un déclic se produisit.

La porte était enfin rouverte laissant entrer les personnes qui étaient bloquer de l'autre coté. L'albinos, Endou, Kazemaru, Fudou, …

« Alors les codes barres sont des clefs ? »

Kazemaru avait raison. Des clefs. Une clef par personne. Il lança un regard suspicieux à la fille qui avait fermé la porte, mais n'ajouta rien.

Je ne souris pas. Je ne bouge pas. Les retrouvailles seront pour plus tard.
La porte du fond nous attend. Et elle est ouverte.

Plus jamais une page à rattraper D=

Quand je vis la porte s'ouvrir un flot immense de soulagement me parcourut, alors on avait une chance de partir? Mais apparemment, les codes que nous avions ne pouvaient ouvrir qu'une porte chacun et nous ne savions pas laquelle, alors il faudra que je reste avec eux pour avancer? Si c'est le seul moyen alors d'accord mais à la moindre occasion je cours, je me mettrais à courir le plus loin possible de ces "loup potentiels". Je toussotas;
"-Apparemment oui, les codes sont des clefs, c'est assai chiant...on risque d'avoir des problèmes."
En disant sa je jeter un coup d'oeil dans la pièce dans laquelle les autres avaient été enfermé, juste pour être sûr que derrière il n'y avait rien d'important...comme une sortie.

La fille brune au sol, qui venait de se relever avec l'aide de celle aux cheveux violet qui n'avait encore rien dit, remercia cette dernière avec un merci anglais, qui la fit sursauter. Apparement, elle parlait anglais. La seconde fille aux cheveux violets se tourna brusquement vers Silence, la faisant sursauter. Elle se mit face à eux avant de montrer du doigt le code-barre qui ornait son dos.

✖ » Et si on essayait d'ouvrir avec sa? Essayes-toi...sa peut marcher!

La fille pointait du doigt la jeune rousse, qui sursauta. Avant qu'elle n'ai put répondre, la fille brune se présenta.

✖ » Moi c'est blue et toi ?

Silence déglutit avant de se présenter pour la seconde fois de la journée, suivit de Fubuki.

✖ » Silence Hae RoodGarden

✖ » Moi c'est Fubuki Shirou...

Touko suivit presque immédiatement, tout en cherchant quelque chose dans le fond de la salle.

✖ » Je m'appelle Zaizen Touko

Silence fut entrainé par Fubuki qui se dirigea vers la porte, plus exactement vers le scanner, avant d'y présenter son code-barre en se penchant, renversant la jeune fille en arrière. Un claquement sourd réchauffa le coeur de la jeune fille; la porte était ouverte. Du coin de l'oeil, elle vit la fille aux cheveux violet, l'anglais, surement, reculer au fond de la pièce, surement par peur d'être malmené par ceux de la première salle. Un "bien joué!" se fit entendre de l'autre salle, avant que celui qui venait de le dire, le garçon aux longs cheveux bleus, ne demande:

✖ » Alors les codes barres sont des clefs ?

la seconde fille aux cheveux violets lui répondit, toussotant.

✖ » Apparemment oui, les codes sont des clefs, c'est assez chiant...on risque d'avoir des problèmes

Touko et celle-ci se tournèrent vers le fond de la salle, Silence suivit donc le mouvement, gardant les retrouvailles pour plus tard, malgré son regard déjà plus chaleureux. Une porte, au fond de la salle, se trouvait, ouverte, comme si elle les invitait à passer. Sans se détacher de Fubuki, la jeune fille fit quelques pas vers la porte en la pointant d'une main.

✖ » La-bas, une porte. Elle pourrait nous mener à quelque chose...

Laissant sa phrase en suspension, elle se dirigea vers la jeune fille anglais, un faux sourire dessiné sur le visage, un sourire triste, tenant le jeune homme par la main. Elle l'invita à venir en lui tendant légèrement la main, son cerveau s'activant pour retrouver sa langue natale, et dit avec un parfait accent anglais:

✖ » Are you English? If you're, I can interpret than they say, I'm English too.

Une...Une porte? Je dévisageais se que j'espérais depuis mon entrée ici, et peu importe où sa me mènerait je m'en fichais maintenant, je me mis à courir en direction de l'allé maintenant ouverte, je me mis à courir le plus vite possible en bousculant les quelques personnes que je laissais derrière moi, je m’engouffrais dans un dédale de couloir et je ne savais absolument pas où j'allais mais peu importe il fallait que je cours, j'avais bien trop peur pour rester prés de ces gens qui pourtant auraient pus devenir mes amis, j'avais trop peur que parmi eux se cache celui qu'ils appelaient "le loup". Je ne m'arrête plus de courir, je ne m'arrêterais que quand je ne verrais plus personne.

Je baissa mon regard. Celui que me portait le garçon à l'allure efféminée en disait long.

Mes membres continuaient à trembler comme s'il s'agissait de ceux d'un nouveau-ne. L’adrénaline me montait à la tête. Ma respiration s’accélérait malgré elle. Pourtant, rien de spécial ou de dangereux ne se déroulait. Au contraire, cette porte enfin aurait du me rassurer un petit peu. Alors pourquoi stressais-je ainsi ?

La fille qui formait un duo avec le garçon aux cheveux d'un bleu glacé ne me laissa pas le temps de réfléchir, me tirant de mes pensées d'une manière que je jugeais réellement inattendue :
✖ » Are you English? If you're, I can interpret than they say, I'm English too.

Ces paroles furent accompagnées d'un sourire ainsi que d'une main tendue en ma direction. Esquissant un faible sourire sous cette agréable surprise, je lui répondis :
[English]- Oui, je ne parle que l'anglais. Merci beaucoup.[/English]

Merci, car enfin je pouvais communiquer. Enfin, je pourrais peut être comprendre cette situation contre-nature. Enfin, je saurais, tout simplement. Un savoir qui calma mes spasmes.

Je m’apprêtais à attraper cette main tendue lorsque le garçon aux cheveux violets passa entre nous deux de manière brutale, paniquée. De mes yeux effares, je le suivi du regard, le voyant fuir au travers d'une porte donnant, au vue de la résonance, sur ce qui semblait être un couloir.

~ Salle 1 - A door ?

Mon code barre semblait avoir ouvert la porte. Je vis donc Kazemaru ouvrir la porte en me lançant un "bien joué !". Maintenant, on est de nouveau ensemble, je pense que c'est la solution la plus prudente car si il y a vraiment un traître parmi nous, je pense pas qu'il agirait si tout le monde était là. Pourtant, un des garçons a décidé de partir en courant... Il est complètement fou ! Si ça se trouve, on est pas seul et une personne se trouve caché quelque part dans cette pièce... J'espère pas, sinon il sera en danger. Même si je le connais pas, c'est trop dangereux.

Je regardais Silence parler à la jeune fille qui semblait ne parler qu'en anglais. J'étais surpris, j'ignorais qu'elle maîtrisait aussi bien l'anglais. Je m'avançais vers la porte que la rouquine avait remarqué. Peut-être qu'on trouvera une sortie, du moins, j'espère... Je gardais Silence contre moi avant d'emprunter cette salle. Une fois devant la porte, je posais ma main sur la poignée de la porte avant de la tournée, j'espère qu'elle est ouverte.

[HRP : Désolé, c'est court >w< Mais je sais pas si la porte est ouverte ou non et si oui, je sais pas quel est la pièce derrière .o.]

Mise en Situation.

Après que le groupe se soit un peu dispersé, un hurlement se fit entendre dans tout le bâtiment ... Quand la mort vient, on ne peut pas y échappé, même si celle-ci est cruelle, même si celle-ci est injuste ... C'est un faite, on ne peut rien contre Madame la faucheuse. La deuxième victime du loup est donc désigné, la deuxième victime du loup a donc été tuée. Celle-ci n'était d'autre que la jeune Kakure Fukushi, dont le visage est déformé, plongé dans les toilettes de l'endroit. Elle sera donc la deuxième victime du jeu ...

Hors-RP:: Le joueur Kakure Fukushi est éliminé, elle reçoit donc un petit lapin Rabbit Doubt en cadeau pour avoir participé au jeu ! Merci encore à elle ! Continue à lire la suite ! :3

Evénement Halloween ||.Play with me ♥ | Rabbit Doubt| - Page 4 Kakure10

Les deux premiers joueurs à trouvé son corps on été tiré au hasard, il s'agit du numéro 9 et 3, donc Shirou Fubuki et Ichirouta Kazemaru. Ceux si aurait pu prendre l'inventaire de la victime mais malheureusement celui-ci est vide ! Pas de bol pour eux, ils ne gagne rien à découvrir le corps sauf peut être la mal chance de se faire suspecter davantage ...

Description de la pièce :: Voici le plan, les points noirs sont les morts et les bleus les endroits où vous vous trouvez. Le corps de Kakure se trouve dans de petites toilettes. Bonne continuation.

- Le Narrateur.

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Toilettes - La machine est en marche.

A force d'être entassés les uns sur les autres, c'est pas étonnant de vouloir prendre un peu l'air ... Pour autant qu'il y en a, ici. Mais j'avoue que d'avoir vu ce type s'enfuir comme si il avait à l'instant vu un fantôme, ça, c'est vraiment flippant. Je ne compte plus le nombre d'éléments effrayants, ici, mais voir quelqu'un péter un plomb juste devant soit, ça fiche un drôle de choc quand même. Et puis surtout, même celui qui ne c'est jamais retrouvé dans une situation de loin ressemblante à la notre devrait être en mesure de comprendre que c'est plus que décourageant.
J'aimerais rester au près d'Endou, mais j'ai un autr moment de faiblesse. Il faut que je me ressaisisse. Dans la grande, la misérable troupe que nous formons, je suis sur que je ne suis pas le seul a avoir finit par m'égarer, de toute façon, on ne le remarquerais presque pas tant nous ne semblons pas unis. Oh, oui, c'est vrai. Mon pas est lent, plus lent que celui qui s'en est allé avant moi, il y a déjà quelques longues minutes de cela. Il va un peu au hasard, mais pas trop loin, je ne veux pas trop m'éloigner, je veux pouvoir les entendre pour me rassurer. Mentalement, je tente de me réconforter ; Courage, Ichirouta, respire et peut être que si tu fais comme si cela ne t'effrayait pas, le virus de l'assurance se répandra. Cela nous rendrais forcément moins vulnérables.
Faux.

Quelqu'un crie, je sursaute si bien que je sens encore mon squelette tout secoué, j'ai du faire un bon d'un mètre. D'où ça vient, que j'aie dans le sens inverse ? Tout seul, je ne ferais pas le poids face aux problèmes ! Mais, ce n'étais pas la voix du garçon effrayé ? Les échos me perde et plutôt que d'aller dans le sens du groupe, je me coince contre un mur, au détour du couloir. Y'a des portes dans les pièces d'en face, elles ont l'air ridicules comparé au système de tout à l'heure. Je suis tétanisé.

Je me suis glissé vers le mur en question, il ne porte plus de bruit. J'en conclu en tremblotant qu'il n'y a plus personne, mais j'hésite quand même longuement à rentrer. Le cris, c'était pas une hallucination, non ? Alors, pourquoi je suis le seul crétin à être venu voir si vite dans cette direction, pourtant pas si égarée du reste du groupe ? Le seul, non. Je remarque seulement Fubuki. Un visage familier m'aide à porter ma main sur la poignée et à pousser la porte. Je le remarque tout de suite : Nous sommes dans les toilettes. Par contre, ce que je ne constate pas tout de suite, c'est l'état de notre compagnons. C'est l'angle bizarre de son corps qui m'a donné l'alerte. Je murmure de bref appels, pas de réponse. Je n'ose pas vraiment redresser sa tête, enfoncée dans une cuvette, comme si il avait été malade. Quand je comprends pour de bon, j'ai un mouvement de recule.

« Merde ! » Je le lâche sans m'en rendre compte.

Je lance un regard à mon ancien coéquipier, le genre de regard qui demande une confirmation. Derrière nous, j'entends qu'enfin, quelqu'un arrive.

~ Toilettes - A Creepy Scream

Alors que j'allais ouvrir la porte, j'entendais un cri... Mais pas un cri comme les autres, le genre de cri qui vous glace le sang. Je tremblais de peur, qui a poussé ce cri ? Je regardais le groupe, on est tous la, il manque juste le garçon qui s'est enfuit tout à l'heure. Les autres ne bougeaient pas, avaient-ils entendu le cri ? Pourtant, à mes oreilles, ce cri était parfaitement audible. Kazemaru semblait avoir également entendu le cri, je desserrais doucement mon étreinte sur Silence pour le suivre et ouvrir une porte. Je fis un pas en arrière en voyant quelqu'un, la tête dans la cuvette. Kazemaru tentait de l'appeler, mais la personne ne semblait pas avoir entendu. Prenant une bouffé d'air, je m'approchais de la personne, une boule au ventre. Je posais une main sur son épaule, pensant qu'il avait du s'assoupir... Voyant qu'il ne répondait toujours pas, je commençais à trembler, pensant le pire. Et si c'était lui qui avait poussé ce cri ?

- Est-ce que ça va...?

Ne voyant toujours aucune réaction de sa part, je pris donc les devants en passant une main de chaque coté de son corps pour le soulever. En voyant l'état de son visage, je l'avais lâcher pour reculer en poussant un petit cri. J'avais mal au coeur, je me sentais nauséeux suite à cette vision atroce. Son visage était totalement déformer, un acte de barbarie pareil ne devrait même pas exister. Je ne pu me retenir plus longtemps, je vomis dans un coin devant cette vision d'horreur. Tsunami était mort aussi... Mais sa mort avait été moins barbare que celle là... Je tremblais d'angoisse, les larmes aux yeux.

Toilettes - La machine est en marche.

Fubuki a eu plus de courage que moi, mais maintenant que je peux en voir le résultat, je me dis que j'aurais préféré qu'il s'en abstienne. N'osant pas faire de mouvement brusque, je plante me regard figé dans le vide, direction l'attaquant de glace. Après avoir moi-même été malade tout à l'heure, c'est à son tour ... Je pose une main compatissante sur son épaule par je ne sais quelle force d'esprit, puisque cette vision m'horrifie tout autant. Je sais que, maintenant, je dois avoir l'estomac vide, mais je n'ose pas davantage regarder le visage déformé par la terreur et la violence que nous offre le cadavre de la seconde victime. Je respire mal, j'ai perdu le rythme de mon souffle. Il faut que je sorte, mais je me persuade sans le vouloir qu'en agissant de la sorte, je pourrais me faire surprendre par le loup. Et si les pas que j'ai entendu lui appartenait ?
Alors, plutôt que de bouger, je ferme les yeux en plissant fort les paupières, comme lorsqu'on tente de faire passer une douleur.

« Il faut qu'on se dépêche de sortir d'ici ... » Dis-je à mis murmure.

salle d'attente - couloir

Une confusion totale s'empare de la pièce. Alors que ceux qui étaient coincés derrière la porte s'engouffre dans la salle d'attente qui devient un peu petite pour autant de monde, la fille qui n'avait pas encore dit un mot s'enfonce encore plus dans le fond. Silence, entrainant Fubuki avec elle, vient la voir, et lui parle en anglais, comme moi il y a quelque instant avant d'être interrompu. Cette fois, rien n'empêche la jeune fille de répondre, en anglais. Maintenant c'est sur, niveau communication, il va falloir faire un effort …
Soudain, un vent de panique s'empare de la salle, alors que le garçon, ou la fille, aux cheveux violet qui, depuis tout à l'heure, semblait dans un état proche de la folie, cour jusqu'à la porte en bousculant tout ceux sur son chemin, avant de nous planter là, s'enfuyant dans ce qui semble être un couloir. On reste tous là, planté, et assez étonné. Fubuki fut le premier à bouger, suivit de Kazemaru. Ils avaient raison, bien sur. On devait avancer. J'attendais pour démarrer vers la fin du groupe, trainant un peu, totalement déconnectée quand il résonna dans tout l'hôpital, rompant le silence.
Le cri.
Un cri qui fut bref et long à la fois, se répercutant en chacun. Personne n'ose bouger. Puis, les deux garçons commence à s'avancer, ils tournent aux détours du couloir, on ne les voit plus. Je me rends compte que j'ai arrêté de respirer. Je prends une grande inspiration puis je suis le léger mouvement qui commence à se former, suivant le chemin qu'avaient pris Kazemaru et Fubuki. Sans m'en rendre compte, j'accélère, dépassant le groupe, et me retrouvant en tête. J'arrive devant de petites portes, qui n'ont aucun système de fermeture à scan, contrairement aux autres. Les toilettes. J'entends la voix de Fubuki, puis quelqu'un de malade.
J'ai peur.
Je passe l'encadrement de la porte, pour voir Fubuki plié dans un coin, Kazemaru à coté de lui et … Le corps du garçon par terre. Il ne bouge pas, il a une drôle de position même.
Il est mort.
Je ressors vite de la pièce, pâle, surement avec une tête assez affreuse, laissant aux autres le choix d'entrée ou non. Mais je suppose que, rien qu'à voir la tête des prochains qui entreront, les derniers ne passeront même pas la porte.
Je respire un grand coup, essayant de me calmer, et de ne pas être malade. On ne sait pas combien de temps on restera ici, mais avoir l'estomac vide, ce n'est pas la meilleur des idées … Je sens les larmes remonter. Non ! Je ne veux pas repartir dans un état de loque inutile ! Mais … deux cadavres. Deux morts. Plus que dans toute ma vie. Et ce n'est pas finit.
D'autres sont à venir.

[C'est moi ou … y en a un qui dort toujours dans la salle 3 ? xD]

Je dois me relever même et que je ne dois pas trop une gêne pour les autres. Je réussis à me lever et je me tiens contre le mur, mon pied me fait mal mais, je dois supporter cette douleur comme toute celle que j'ai supporté jusqu'à ici. Bon il me fallait un truc n'importe quoi pour que je me déplace sans aide et que cela ne produit pas trop de bruit pour effrayer les autres.

Je commence à marcher et j'essaie de m'appuyer sur mon pied blessait mais, la douleur est trop forte je retourne sur mon autre pied et essaie de marcher en cloche-pied même si c'est assez difficile mais, je dois me débrouiller seule je ne dois pas embêter les autres avec mes soucis. Quand un cri strident nous glace le sang à tous, je vois fubuki et un autre garçon partir avec lui, le groupe commencent à partir en direction de l'endroit où se sont rendus les deux autres.

La jeune fille qui était en tête de groupe rentra mais, ressortit aussitôt avec le visage aussi pâle que si on avait...non impossible, je sais que kakure s'était enfui il y a pas longtemps, je tombe sur les genoux en pensant à elle les larmes coulent toute seule. Je l'ai perdu ma petite soeur je n'ai pas pu la protéger comme je le devais, je me sens complètement perdu maintenant...

(désolé de ne pas avoir posté avant mais on avant un problème avec l'odrinateur ><)

Koujirou était complètement perdu dans ses pensées. Il ne bougeait pas et tentait de trier toutes ses idées plus confuses les unes que les autres. Il essayait de comprendre quelque chose à cette histoire si étrange et effrayante. Le loup...était-ce l'un d'eux ? Si oui, qui ? Qui aurait-pu faire une chose aussi effroyable ? En tout cas, il devait toujours resté sur ses gardes. Il devait être prudent, méfiant et surtout, ne pas perdre son sang-froid, ce qui n'était pas très facile. C'est donc dans la lune qu'il répondit aux personnes qui se présentaient :

- Moi, c'est Koujirou Genda.

Puis, après que plusieurs personnes tentaient d'ouvrir la porte avec leur code-barre, un jeune garçon aux cheveux blancs, essaya, avec succès. Koujirou était soulagé. Mais peu de temps après, un cri épouvantable à vous glacer le sang retentit. Qu'est ce que c'était que ça ? Il ne pouvait pas bouger tant il était surpris et effrayé. Deux garçons prirent leur courage à deux mains et allèrent voir ce qu'il se passait. Après plusieurs secondes, Koujirou décida d'aller voir, lui aussi. Il n'allait quand même pas rester planté là. Et c'est avec horreur qu'il découvrit une autre personne du groupe, la tête dans les toilettes. Vu les réactions des deux garçons, il comprit qu'elle était morte...Encore un mort... Il regarda le corps avec chagrin, mais aussi colère. Comment le loup pouvait-il faire des choses aussi abominables ? Mais alors...allait-il tous mourir ici ? Dans cet endroit lugubre ? Non, il ne fallait pas penser à cela, il fallait garder courage, ils devaient sortir de cet endroit et trouver le loup, ce monstre... Il passa les mains sur sa tête et déclara alors :

- Il faut vraiment sortir de cet endroit au plus vite...

~ Couloir - I will go out...

Je retenais mes larmes, je sentais une main sur mon épaule. Redressant doucement mon regard, je vis Kazemaru, il m’adressait un regard compatissant. Je me redressais doucement en tremblant. J’essayais de faire en sorte que mon regard ne croise pas le corps sans vie de la personne. Je resortais des toilettes en tremblant encore un peu, Touko et Blue était devant la porte. A en voir leurs visages, elles avaient vu le cadavre aussi. Je m’appuyais contre un mur en me laissant glisser contre ce dernier. J’aurais bien voulu passer ma tête par une fenêtre, histoire de sentir l’air extérieur. Je regrettais de pas être à Hokkaido, l’air frais m’aurait fait le plus grand bien. Je serais mon écharpe contre mon torse en me recroquevillant sur moi-même. Je veux… Que tout ce finisse… Pourquoi nous ? Qu’est-ce qu’on a fait de mal pour mériter ça ?! Je serais mes dents à la fois de rage et de tristesse.

Je redressais légèrement mon visage, cherchant Silence du regard. J’aurais dû la garder dans mes bras et ne pas aller voir cette horreur… Pourtant, suite à un cri pareil, j’aurais dû me douter de ce que j’allais trouver… J’étouffais un sanglot, ne pouvant pas réprimer mes larmes plus longtemps. Que quelqu’un nous sorte de là… Et vite… Atsuya, que dois-je faire… ? Aide moi je t’en prie…

La jeune anglaise lui fit un faible sourire, avant d'affirmer qu'elle ne parlait qu'anglais. Alors qu'elle s'apprêtait à attraper la main que Silence lui tendait, la fille aux cheveux violets passa entre elles deux, les bousculant au passage, projetant la rousse sur Fubuki (Ahem :'3 ). celui-ci se dirigea vers la porte, alors que la fille qui l'avait emprunté s'y engouffrait en disparaissant. Quelques secondes après, un cri retentit. Un cri comme celui qu'elle avait poussé quelques minutes auparavant, un cri d'horreur qui retenti. La jeune fille frémit, alors que le garçon aux cheveux bleus et longs se dirigeait vers la source du bruit, suivit de Fubuki qui avait relâché Silence. Quelques secondes avant qu'elle ne s'approche à son tour de la porte. Touko venait de rentrer. Elle ressort vite. Pâle. Un second mort? La fille de tout à l'heure? Le corps de Silence se mit à trembler. Et Fubuki, où était-il? Blue venait de voir, Blue venait de tomber à genoux. Elle pleurait. Koujirou, qui s'était présenté quelques instant plus tôt, dit quelque chose que la rousse ne comprit pas. Ça n'atteignait pas son cerveau. Il était bloqué sur une seul image, celle de la fille défiguré qui venait d’apparaître devant elle, alors qu'elle passait le pas de la porte. Sa main se précipita devant sa bouche, les yeux agrandit par la frayeur et les larmes. Elle dut s'appuyer sur le mur pour ne pas tomber, mordre sa lèvre jusqu'au sang pour garder connaissance. Détournant le regard du corps inerte, ses yeux rencontrèrent ceux de Fubuki qui semblait cherche quelqu'un. Il étouffait ses sanglots, puis ses larmes se mirent à couler. Rassemblant ce qui lui restait de force, Silence s'approcha de lui, à côté de l'autre garçon, et s'accroupie, posant une main sur sa joue pour le calmer et effacer ses larmes. Elle déposa un baiser sur sa seconde joue avant de le prend dans ses bras, le serrant contre elle pour essayer de le rassurer. Le souvenir des morts étaient trop récent, imprégnaient trop leur esprit. La mort, le désespoir. Pouvait-il rester une trace d'espoir? Une trace d'amour dans ce monde?

Ils sont tous rentrer pour observer l'affreuse vérité et de leur horreur j'ai profité pour ôter ma main réconfortante de l'épaule de Fubuki, en toute discrétion, pour le laisser avec cette fille de la quelle il semble si proche. Endou, où est Endou ? Il faut que je me faufile hors de la petite pièce ou je vais étouffer ! Je me hâte, quitte à bousculer à l'aveuglette deux ou trois personnes. Me voilà de nouveau dans le couloir - plus loin que là où se trouve Fubuki qui a eu la même bonne idée de rejoindre cette pièce large pour évacuer les images - ricochant les fantômes du cris, j'étais à quelques mètres quand s'est abattue la main de la faucheuse.

J'ai envie de faire vibrer ma rage et ma détresse dans mes cordes vocales, mais crier ne serait pas furtif. Si je suis calme, personne ne fera attention à moi et ça vaudra sans doute mieux. J'ai peur que mon escapade de toute à l'heure attire les suspicions ; Après tout, je m'étais caché dans l'ombre d'un mur et j'avais été sur place presque instantanément après le meurtre. Car moi, je m'y fait de plus en plus ; Si les portes métalliques s'ouvrent et se ferment dans un bruit résonnant ... C'est qu'il y a bel et bien un loup parmi les lapins. Je les ai tous observés, ils ont tous l'air humain pourtant, aucun capable de telle violence. C'est le pire qui est entrain d'arriver, le sommet de la paranoïa, j'ose à peine y croire et pourtant comprendre me rassure, ça me donne l'impression qu'il est possible de trouver des solutions. Possible. Là, comme ça, j'ai l'esprit en panique et ça ne m'aide pas à tirer mes idées au claire. Mais, penchons pour un résumé facile ; Genda n'a-t-il pas si justement répéter avec des mots presque identiques aux miens, les ayant précédés de peu, que ce qui importe à présent est d'aller au plus vite respirer l'air frais de l'extérieur en trouvant la sortie ? Peut être ... Peut être que nous n'aurons plus à compter de pertes si nous arrivons à y courir ? C'est tout de même peu probable.

Un cri, un hurlement. Un seul. Celui ci déchire le silence des lieux. Frissons et vertiges.

Et silence de nouveau. Mais il ne s'agit là aucunement du même que celui précédent ce bruit à glacer le sang. Paralyse temporairement mes muscles, paralyse temporairement le temps dans une seconde de terreur. Seconde ou le garçon aux cheveux bleus et celui qui accompagne la personne qui s'est proposée de me traduire se mettent immédiatement en route.

Et les autres commencent à suivre, moi compris, bien qu'en retrait des autres. J'ai vraiment l'impression qu'il fait froid, aussi bien dans le bâtiment que dans le groupe. Un froid tétanisant, terrorisant. Qui, après quelque pas plus que lents et tremblants de ma part qui me maintiennent au niveau de la fille brune, se confirme.

Aussitôt rentrée, aussitôt ressorti. Une extrême pâleur en supplément sur le visage de la fille aux cheveux bruns-rouges. De même pour celui aux cheveux bleu glacé. Et celui aux nombreuses mèches bleutées.

Équilibre chamboulé. Odeur nauséabonde. Esprit déconnecté. Bousculade. Tangage. Aucun appui. Carrelage froid. Larmes salées.

De nouveau une personne de décédée. Celui aux cheveux violets ? A moins qu'il ne soit dans l'ombre, patientant le moment ou il frapperait ?
Quoi qu'il en soit, c'était désormais clair comme de l'eau de roche. Nous étions dans cet endroit pour se faire tuer. Nous n’étions que des jouets. Destinés à amuser cet assassin. A assouvir les désirs malsains d'un malfrat de l'ombre. Avec une seule et unique échappatoire. Qui m’échappa dans un sanglot

- The... Death...

~ Couloir - Over and over...

Je sentais une présence à côté de moi, une présence douce et apaisante. Relevant mon visage couvert de larme, je vis Silence, me prenant dans ses bras pour me consoler. Je sentais le contact de ses lèvres sur ma joue, ce qui me fit un peu rougir sur le coup. Je pleurais contre elle, il fallait bien que ça sorte à un moment ou un autre. Je m'étais retenu depuis tout ce temps, mais de voir ça... Je pouvais plus tenir. Je serrais Silence contre moi, me calmant peu à peu. Avec une telle situation, je commençais également à avoir des pensées négative. Pourquoi ne pas en finir maintenant ? Au moins, on pourrait choisir sa propre mort sans souffrir d'avantage. Car si c'est ce... loup qui nous trouve... On peut s'assurer une mort douloureuse. Mais la mort en elle même n'est-elle pas douloureuse ?

Une fois mon flot de larmes terminé, je me redressais en gardant Silence contre moi. Mes yeux étaient rougit par les larmes, j'avais vraiment une salle mine... On pourrait croire que je suis malade si je n'étais pas dans cette situation. Je cherchais la main de la rousse avec la mienne pour lui serrer doucement. Cette fois, je ne la lâcherais plus, je resterais prêt d'elle quoiqu'il arrive. Je caressais doucement sa joue, passant mon pouce sur ses lèvres. J'en profitais également pour embrasser son front avec douceur. Je lui dis ensuite en me forçant un peu à sourire :

- Je ferais en sorte que tu puisses t'en sortir vivante... Même si je dois y rester...

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