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MessageSujet: .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. EmptyLun 14 Mai - 15:40

- Nom et prénom ?

Pas de réponse.

- Nom et prénom ?

Grognement.

- Kagura Tennōji.
- Écris-moi ça.

Non sans un regard acerbe, l'adolescent s'empare du feutre qui traîne sur le bureau et inscrit les caractères qui le définissent en toute hâte sous l'oeil méfiant du policier. Il ne s'agissait pas de le laisser lui filer entre les doigts. Un stylo pouvait devenir une arme mortelle entre les mains d'un voyou – la sienne portait encore une cicatrice depuis que l'un d'eux avait tenté de le poignarder au moyen d'un porte-plumes. Sa vigilance s'était renforcée depuis et il ne laisserait pas un tel incident se reproduire. Bien que de mauvaise grâce, le garçon se plie à ses exigences. L'officier de police hausse un sourcil sceptique en déchiffrant les kanji venus noircir le document.

天王寺 神楽


- Pas commun comme nom.
- C'est pas votre problème.

L'adolescent se rembrunit, de toute évidence sous tension. Tout porte à croire qu'il est prêt à lui sauter à la gorge au premier mot de travers. L'agent déglutit à grande peine, mais s'efforce de le faire en toute discrétion pour ne montrer aucun signe de faiblesse. En son for intérieur, il ne se pose qu'une seule question : pourquoi est-ce toujours à lui qu'on confie ce genre de cas ? Parait-il que c'est parce qu'il est le plus jeune de la bande, et qu'à ce titre il aurait le contact plus facile avec les enfants. Il n'en est lui-même que peu convaincu, ayant déjà un mal de chien à canaliser sa propre fille, bien que plus âgée que le garçon qui se tient devant lui.

- Ton âge.
- ...
- Eh, petit. Ton âge.
- ...
- T'es sourd ? Je t'ai demandé ton âge !
- J'ai seize ans ! Ça va, vous êtes content ?

Le brave homme rehausse ses lunettes, quelque peu déconcerté par cette attitude. Par moments, sa fille était une véritable peste, mais jamais elle ne s'était montrée aussi revêche même dans ses plus mauvais jours. Pour être si peu courtois, ce garçon avait dû manquer cruellement d'éducation dans sa jeunesse, il en mettrait sa main à couper.

- Tu te fous de moi ? C'est pas possible de faire une taille pareille à seize ans ! Essaie pas de me mentir, ou je te jure que tu vas le regretter. Je dis ça pour ton bien, tu sais.

La mâchoire du môme se crispe, et l'irritation ravage ses traits en une fraction de seconde. Un frisson dévale l'échine du gardien de la paix qui a soudain l'impression d'avoir signé son arrêt de mort. La haine qui flambe dans les yeux de son vis-à-vis n'est pas pour le rassurer, et cela ne va pas en s'arrangeant quand celui-ci se relève d'un bond et frappe du poing sur la table au point de l'en faire vibrer. Dressé de toute sa hauteur, il arborait en effet une haute taille, sans doute pas loin du sempiternel mètre quatre-vingt. D'une rareté effarante pour un individu d'origine nippone. Si amples que soient ses vêtements, on pouvait deviner au-dessous un corps proportionné en conséquence, taillé pour l'athlétisme.

- Votre avis, je m'en contrefous ! J'ai seize ans, point barre, et si ça vous plait pas j'en ai rien à carrer. Alors magnez-vous de remplir la paperasse que je puisse me tirer ici avant de perdre patience. C'est pas la peine de jouer la carte de la compassion avec moi, ça prend pas, alors écrivez et lâchez-moi la grappe avec vos conneries.

Le temps parut suspendre son vol dans cette petite pièce. Le silence était retombé comme une chape de plomb, et cette dernière pesait lourdement sur les épaules du jeune policier. On lui aurait dit que ce jeune avait un cran d'arrêt dans sa poche qu'il n'aurait pas été plus terrifié, trop occupé à se mirer dans les pupilles haineuses de son interlocuteur pour réaliser que celui-ci s'était déjà calmé. Ses mains frémirent, les doigts heurtant fébrilement la tasse de café tiède qui reposait à proximité. Ce bruit alerta le jeune homme, qui après un regard lourd de sens sur ses doigts tremblants se rassit sans rien ajouter. Merde ! s'exclama-t-il mentalement après s'en être aperçu, conscient qu'il venait de perdre sa position de force en trahissant ses craintes profondes. Pourtant, le captif ne semblait pas décidé à en jouer, à nouveau muré dans un profond mutisme depuis qu'il s'était laissé retomber sur sa chaise. Le dos calé contre le dossier, il ne cessait depuis de le regarder fixement, insondable.

- La suite.
- Que... Quoi ?
- La suite ! Qu'est-ce que vous attendez ? On va pas y passer la nuit.

D'autant plus qu'il était déjà tard. Très tard, même. Trop tard pour un garçon de son âge, si tant était qu'il dise la vérité. Et – le ton menaçant de sa diatribe retentit à nouveau dans son esprit – il était dans son intérêt de le croire sur parole. Ils étaient au beau milieu de la semaine, on pouvait donc supposer que ce charmant bambin (douce ironie) n'aurait pas dû se trouver dehors alors que sonnaient les douze coups de minuit, pour avoir cours le lendemain. Ce qui n'avait pas empêché les faits de se produire, amenant à émettre de sérieux doutes sur la salubrité de son comportement. Non sans avoir pris une brève inspiration qui devait l'aider à remettre le pied à l'étrier, l'homme poursuivit d'un ton qui se voulait professionnel sans trop parvenir.

- De sexe masculin et de nationalité japonaise, c'est bien ça ?
- Je crois que vous avez raté votre vocation, avec un tel talent pour la langue de bois et pour enfoncer les portes ouvertes vous auriez dû faire politique plutôt que de vous engager chez les flics.
- Je ne te permets pas de...
- Oh, excusez-moi, j'ai tendance à penser tout haut. Faites pas attention.

Cela se sentait à chacune de ses prises de parole, ce garnement était moins stupide qu'il en avait l'air – c'était dire si c'était étonnant. En dépit de son animosité à peine voilée et de son goût prononcé pour l'insolence, il ne manquait pas de vocabulaire et encore moins de répartie. Sans doute un fort potentiel intellectuel, gâché à errer dans les rues de Tōkyō. C'était d'une tristesse... Si sa progéniture pouvait bénéficier d'un tel don et l'utiliser à bon escient, il serait le plus heureux des pères. Malheureusement, il n'avait pas eu cette chance. Aussi ne pouvait-il que le déplorer à chaque fois qu'il tombait sur un de ces enfants à qui leurs capacités promettaient un brillant avenir, mais qui ressentaient l'irrépressible besoin de le détruire. Et indéniablement, des penchants auto-destructeurs, ce vaurien en avait à revendre.

- J'imagine que tu fais des études ? Je peux savoir où tu habites ? J'aimerais aussi connaître la situation financière de tes parents, si ça ne te dérange pas.

Ces derniers mots étaient de trop. Son honnêteté le perdrait, un jour. Mauvais menteur, il venait de faire aveu de l'intérêt qu'il portait à sa situation. Ce n'était sans doute pas assez pour le percer à jour, mais il était plutôt étrange de se montrer si courtois alors que cette démarche était supposée être impérative. Le dernier point ne figurait pas sur le questionnaire, ce n'était qu'une volonté de sa part de comprendre les raisons qui poussaient un brillant jeune homme tel que lui à gâcher sa vie. Ainsi donc, il en avait trop dit. Par bonheur, l'adolescent semblait ne pas l'avoir remarqué, subitement plus sombre à nouveau. Impossible de s'y tromper, il venait de toucher la corde sensible. Le garçon serra les poings, et il craignit que l'un d'eux le touche au visage. Il n'en fut rien. Sitôt qu'il se détendit, la seconde d'après, le détenu lui répondait d'une voix où l'on sentait poindre une colère à peine contenue.

- Ouais, y parait. Je vis à l'école, à l'internat. Je paie mes dépenses grâce à l'argent que j'ai mis de côté. Et j'ai pas de famille. Content ?

Frappé de mélancolie, il se leva, mais sans esquisser le moindre geste qui puisse laisser deviner une intention néfaste. Il se contenta de saisir la chaise sur laquelle il était assis et de la faire pivoter face au mur avant de s'y asseoir dans la direction opposée, les avant-bras au sommet du dossier et le menton y reposant par-dessus. Toute son attention était captivée par le firmament obscur qu'il pouvait voir par la fenêtre, hors d'atteinte mais porteur des rêves des hommes depuis la nuit des temps. Son air absent n'aidant pas à savoir à quoi s'en tenir, le policier resta coi, attendant une nouvelle réaction. Tandis qu'il contemplait le ciel étoilé, son geôlier en profita pour l'épier, l'examiner plus en détails. L'air dangereux que lui conférait son allure était sans aucun doute volontaire, mais outre ce besoin d'extérioriser son rejet d'autrui, on pouvait lire en lui une insatiable soif de solitude. L'air hostile qu'il voulait se donner était d'une rare efficacité, force était de le reconnaître. Et bien que sa tenue évoque celle des délinquants qu'on pouvait parfois voir trainer dans le quartier, son attitude était incomparablement plus noble, plus soignée. Que fallait-il en conclure ? Passablement abasourdi, l'homme de loi reprit d'un timbre timoré.

- Pas de famille ? Personne pour s'occuper de toi, que je pourrais joindre ?
- Le Commandant.
- Pardon ?
- Kageyama Reiji.

L'homme tressaillit. Personne dans sa juridiction n'ignorait le nom de cet homme, désormais mondialement connu pour être à l'origine de la disparition du légendaire Inazuma Eleven. Sans parler des crimes qu'il avait commis au fil du temps venus alourdir un cassier judiciaire déjà bien chargé. La simple évocation de son nom inspirait un subtil mélange de crainte et d'effroi que l'adolescent prit un plaisir sournois à déceler dans ses yeux paniqués. À l'époque, le sort de l'ancien vice-président de la ligue de football était encore incertain et ce n'était que bien plus tard que la presse s'emparerait de la nouvelle de son décès.

- En fin de compte, ça devrait aller, je crois...
- Aurais-je oublié de vous dire que j'étudie à Teikoku ?
- E-En effet, mais ce n'est pas bien grave voyons, ça arrive à tout le monde d'être tête en l'air ! Ha... Haha... !
- Vous m'en voyez rassuré !
- T-Tu.. Vous... Vous devez aimer le football, alors, hein ?
- J'ai horreur de ça.

Silence.

L'enfant, lui, était déjà au courant : ce n'était qu'une manière pour lui de ressusciter le souvenir de cet homme moins mauvais qu'il n'y parait. Sans lui vouer un culte comme d'autres de ses fidèles, il savait ce qu'il lui devait et maudissait encore le fait de ne pouvoir rembourser sa dette qu'à titre posthume. Un discret soupir franchit la barrière de ses lèvres alors que le policier luttait pour reprendre un semblant de contenance. Non, le gamin qu'il était n'avait pas eu la vie facile... Mais plutôt que de s'abîmer dans un passé aussi houleux que révolu et dans les idées noires qui iraient fatalement de pair, il choisit de replacer correctement son siège – et sa personne par la même occasion.

- Dites-moi... Vous avez d'autres questions à me poser ou je peux y aller ?
- B-Bien sûr allez-y, je vous en prie, vous connaissez la sortie...

Sa mine déconfite hurlait « par pitié, ne me tuez pas ! » tant et si bien que le garçon en eut presque un pincement au coeur tandis qu'il affectait de se relever. Finalement, l'agent en avait même oublié de noter comment il était arrivé ici, et ce n'était pas plus mal. Il était certes en possession de toutes ses informations personnelles – non pas qu'il y en ait des masses – mais ce n'était pas la première fois qu'on lui passait les menottes aux poignets pour une broutille. Et tant que le nom de son « tuteur légal » aurait cet effet dévastateur, il s'en tirerait à bon compte. Même une fois que la nouvelle de sa mort se serait répandue, certains craindraient, à n'en pas douter, que le spectre de Kageyama Reiji était susceptible de venir les hanter s'ils s'en prenaient à ses protégés. Cette pensée teintée d'ironie lui arracha l'ombre d'un sourire mesquin avant qu'il ne tourne les talons, non sans avoir jeté sur le bureau le feutre qu'il avait gardé entre ses mains tout ce temps.

Ce n'est que quand la porte eut claqué dans ses gonds qu'il se permit de reprendre son souffle, non sans avoir vérifié que le captif était bel et bien en train de s'éloigner et non pas de préparer un coup tordu comme feu son responsable légal en avait le secret. Mais si arrogant qu'il se soit montré, Kagura n'en menait pas large une fois sorti du bureau de police. Il l'avait échappé belle, une fois encore. Après avoir fourré les mains dans ses poches pour les tenir au chaud – bien que ses mitaines y suffisent amplement -, il marcha jusqu'à l'un des bancs défraîchis du parc le plus proche, désert à cette heure. Et dès que le distributeur situé littéralement à portée de main lui eut cédé un rafraîchissement, il prit ses aises en s'étalant de tout son long ce qu'il avait déclaré être sa place. L'immensité étoilée qui s'immisçait entre les nuages était d'une beauté telle que son coeur en manqua un battement. À cet instant précis, la lueur à l'agonie d'une étoile filante fendit les cieux pour se perdre dans les méandres de l'obscurité.

Ce triste spectacle à la splendeur enivrante lui donna l'envie de tirer de son col relevé le pendentif qu'il portait autour du cou. Ce n'était pas un objet de valeur, sinon sentimentale. C'était l'un de ces colliers comme on en voit trop souvent dans les manga, où on peut insérer une photo. Parfois, il lui arrivait de se demander pourquoi il ne s'en était pas encore débarrassé. Même si ce n'était qu'une babiole, il devrait pouvoir en tirer un bon prix en le revendant, même si l'argent n'était pas un problème. C'était alors qu'il devait l'ouvrir et regarder attentivement le fragment de jadis qu'il y avait caché précieusement. Une photo de famille ? Certainement pas, c'était plus qu'il pouvait en espérer. On l'avait abandonné sur un terrain de football alors qu'il était encore trop jeune pour pouvoir retrouver le chemin de la maison. Pour cela, il vouait à ce sport une haine viscérale. Et si encore c'était la seule chose qui puisse compter. Le football lui avait tout pris. Personne ne pouvait le comprendre. Aussi ne leur demandait-il pas ne fût-ce que d'essayer. Sa première « vraie famille » aurait pu être cet orphelinat qui l'avait recueilli autrefois, mais les choses n'étaient pas si simples...

Un jour comme les autres dans la vie de Kagura Tennōji.


Dernière édition par Kagura Tennōji le Lun 14 Mai - 15:58, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. EmptyLun 14 Mai - 15:44

Citation :
Ton prénom : Slash, tel le /.
Ton âge : Majeur et vacciné.
Tes loisirs : Trieur de M&M's.

Comment tu es arrivée ici : Disons Top-Site pour simplifier.
Double compte : Non.

Présentation terminée.

Si par malheur ma façon de faire vous déplait, je m'en excuse platement. Je suis bien entendu ouvert à toute critique et disposé à apporter les modifications demandées s'il devait y en avoir. Je pense néanmoins avoir fourni toutes les informations demandées au travers de ce texte de présentation, que je voulais sortant des sentiers battus. Si toutefois cela devait vous déplaire, j'opterais bien sûr pour une approche plus ordinaire, et ce avec le modèle de présentation mis à disposition (ma formule actuelle ne s'y prêtant guère). Désolé pour le dérangement, et en vous souhaitant je l'espère une bonne lecture.

Merci de votre attention.
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MessageSujet: Re: .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. EmptyLun 14 Mai - 17:04



Waa, Bienvenue sur Sekai no chousen ! Ta façon de faire ne me dérange pas, c'est original, mais il y a quelques informations demandées dans le formulaire d'origine que tu n'as pas compléter.
Bien sûre on arrive à comprendre son caractère, et sa biographie, mais il n'y a pas la description physique. J'attends d'avoir l'avie des autres admins, en tout cas j'aime beaucoup ton style d'écriture.
;)
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MessageSujet: Re: .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. EmptyLun 14 Mai - 21:31


J'suis pas d'accord, moi j'la vois, la description. Soit, pour moi c'est okay, c'est même très bien écrit et original à la fois.
Par contre, c'est peut être moi qui ai mal lu avec mes devoirs d'art que j'ai eu la bonne idée de faire pendant ma lecture, mais c'est bien lycéen que tu es ?


Dernière édition par Kazemaru Ichirouta le Lun 14 Mai - 21:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. EmptyLun 14 Mai - 21:37

welk', fort original, et très bien écrit =D

amuse toi bien sur le fow =3
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MessageSujet: Re: .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. EmptyMar 15 Mai - 3:07

Merci pour votre accueil ainsi que pour les compliments.

Vous avez raison l'une et l'autre, j'ai en effet éparpillé des fragments de descriptions de part et d'autre de mon texte mais il est vrai que l'aspect physique n'est présenté que de manière assez superficielle. J'avais dans l'idée d'en faire plus à l'origine mais je trouvais étrange d'en faire un examen trop minutieux avec un tel style narratif. Bien entendu, si vous me le demandez, je ne vois pas d'inconvénient à préciser les passages concernés. Nonobstant cela, je souhaite effectivement figurer parmi les lycéens. En vous remerciant encore pour l'intérêt que vous me portez, et en vous souhaitant d'avance une bonne journée compte tenu de l'heure avancée à laquelle j'écris ces lignes.
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MessageSujet: Re: .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. .: Kagura Tennōji - Stormbringer - Validé :. EmptyMar 15 Mai - 16:30

    Moi ça ne me dérange pas du tout, j'aime beaucoup ton style d'écriture en tout cas!

    Vu que je ne vois rien d'autre à dire, je valide ta présentation.

    Bienvenu sur Sekai e no Chousen! \(^o^)/
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