Camille avait les mains sur ses oreilles et les larmes aux yeux, Callista était à la porte de leurs chambre, écoutant la dispute qui avait éclatait dans la cuisine. Camille en avait marre de les voir s'engueulaient et s'insultaient chaque jour toutes les cinq minutes et c'était la même chose pour Callista. L'aînée écouta sans broncher aux propos des deux parents, elle avait dit à Camille de se bouchait les oreilles pour ne pas entendre, mais certaines paroles réussissaient à parvenir aux oreilles de la cadette âgée de douze ans.
Callista lâcha un long soupir quand elle entendit un vase tombé et se brisait en milles morceaux enchaîner de plusieurs jurons. Camille commençait à fredonné l'aire d'une berceuse qu'elle avait entendue dans un film pour ne plus entendre cette dispute interminable, la brune se retournait vers le lit et regardait Camille. Gary et Johanna, leurs parents, allaient divorcer et s'engueulaient pour savoir qui va garder les enfants ou bien pour autres choses.
Et enfin le silence, un silence impérial briser par le Tic-Tac de l'horloge, Camille détacha ses mains de ses oreilles doucement, à l'écoute du moindres petits bruits.
- C'est fini ? Demanda la cadette.
- Je crois. Répond Callista qui ouvre légèrement la porte.
Elle remarqua que sa mère était assise sur un fauteuil en cuir marron et son père debout.
- Alors, on fait comme ça ? Demanda le père.
- C'est la seule solution... Les enfants ne sont pas obliger d'entendre chaque jour nos dispute pour un oui ou pour un non... Je vais les appeler.
*Appeler ? Mais qui ?* Pensa Callista. Elle refermait la porte et se dirigeait d'un pas traînant vers son lit qui se trouvait juste en haut de celui de Camille. Elle fixait de ses yeux bleus aciers le plafond de la petite chambre, les questions ce bousculaient dans sa tête : Qui sont les personnes que veulent appeler leur mère et leur père ? Le temps passait et Camille avait fini par s'endormir ainsi que Callista, demain elle aura les réponses à ces questions. Pour une fois elle et sa petite sœur dormaient plus longtemps, bizarrement il n'y avait pas de disputes, de cries... Non pas un bruit même. C'est ce silence qui réveilla Camille, cette dernière se leva et se dirigea d'un pas chancelant vers la porte, elle sortait et continue le chemin vers la cuisine où elle tombe sur sa mère à table, téléphone en main. Johanna regardait Camille avant de sourire.
- Assis toi...
Camille s'installait devant elle, sa mère lui servait un chocolat et quelque tartine, puis la porte s'ouvrait de nouveau et Callista entre à son tour sans dire un mot. Elle se chauffait son café et se tartinait quelque tartine, puis s'installait à coté de Camille. Johanna respire profondément.
- Camille, Callista.
Les deux sœurs arrêtaient soudainement leurs occupations et regardaient d'un aire interrogateurs leurs mère qui semblait fatiguer.
- Hier... votre père et moi avions eu... encore une dispute et on a finit par penser à vous. Vous devez avoir marre de nous entendre et...
- Maman arrête de tourner autour du pot. Dit soudainement Callista.
Elle se tut un moment pour rassembler ses esprits :
- Vous partez en fin d'après midi.
- QUOI ? ! Fit les deux sœurs surprises.
- Et on va où ? Continua l’aînée.
- Chez vos oncles, à Londres.
- On as des oncles ? Dit la cadette surprise.
Callista et Camille ne connaissaient personne de leurs familles, mis à part leurs grand-mère paternel. Johanna hocha la tête.
- Ils sont au courant de votre venue, mais il y a un problème.
Les deux sœurs se regardaient craignant une mauvaise nouvelle.
- Aucun des deux ne peut s'occuper de vous deux en même temps.
Elles sont surprises de cette révélation, une question trottaient dans leurs têtes : Qui ira avec qui ? Leurs mère répondait de suite à leurs questions muettes.
- Je ne sais pas comment ils s'organisent, vous verrez bien sur place.
Un long silence s'installait et Camille finit par se levait et sortir de la cuisine et Callista fit de même. Elles ne voulaient pas quitter New York ! Elles voulaient rester avec leur mère ! Et c'est d'un pas lent que Camille s'enfermait dans la chambre dans un claquement de porte, Callista respirait une dernière l'aire de New York depuis le balcon.
*
Camille marchait entre son père et sa mère, Callista restait en retraite et lisait une revue scientifique. Elle finissait par jeter un regard vide devant elle, c'était sûr, Callista ne veut pas quitter New York. Elle s'en fichait pas mal de tout ça pour le fait, elle s'en fichait que ces parents s'engueulent sans cesse, elle se qu'elle voulait, c'est de rester pour être avec ses amis et être avec ses parents et surtout être avec Arsène, son copain. Elle remarqua très vite que cela ne gênait pas Camille, elle était encore jeune après tout et elle par contre en avait marre de ses disputes. Callista jetait la revue dans une poubelle et fourra ses mains dans ces poches de sa veste légèrement grande pour elle.
Le temps était comme elle : fade, gris et triste. Si elle pouvait elle ferait demi tour et s'enfermerait dans sa chambre, flâner sur internet ou bien s'emmerdait. L'aînée avait prévenu son copain et quelque potes de son départ, un seul sera là pour un dernier au revoir. Chaque pas était un calvaire pour elle, elle sait qui elle va trouver avant de s'envoler pour Londres. Les deux parents étaient au guichet, Camille et Callista étaient assises sur un banc. Elles attendaient que leurs parents reviennent avec les billets d'avion. Une personne déboula dans la grande salle, il était blond et ses yeux sont d'un bleu clair.
Callista le reconnu et se leva. Elle fait signe au jeune homme qui s'approche d'eux à grands pas, le jeune garçon la prit dans ses bras.
- Salut Arsène. Fit Camille toujours assise.
- Salut...
Callista se détacha d'Arsène et lui adresse un sourire désoler. Il posa délicatement sa main sur ça joue pâle, Arsène et Callista sortaient ensemble depuis qu'ils sont en cinquième et le fait de se quitter sera un grand vide pour eux. C'était même pas imaginable de les voir séparer ! Le temps déjà bien maussade empirait à vue d’œil, le ciel devient noir et menaçant. Johanna s'approchait des deux sœurs et d'Arsène, elle lui adresse un simple sourire, Johanna n'aimait pas trop Arsène, elle n'aime pas le voir tournait autour de Callista.
- Vous venez.
Camille se levait et se dirigeait vers son père, Callista embrassa Arsène.
- Tout ira bien Callista, je t'oublierai pas. Dit-il avec un brin d'ironie.
- Comme on dit : Loin des yeux, loin du cœur.
Sur ces mots, elle s'éloigna avec sa mère. Les deux jeunes sœurs entraient dans l'avion. Elles s'installaient à leurs places et attachaient leurs ceintures. L'avion finit par décoller, Callista ferma les yeux ne voulant pas voir qu'elle quitte sa ville natale pour aller au pays de sa majesté. À quoi ressemblaient ces oncles ? Et qui ira avec qui ? Et puis elles avaient oublié de demander leurs prénoms. Callista j'etait brutalement un regard à sa petite sœur qui avait emmené son ordinateur portable, elle remarqua qu'elle était sur Facebook.
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Je cherche nos oncles.
- Tu connais leurs prénoms ?
- Bah oui, papa me la dit.
- Et ?
- Et aucun des deux ont Facebook.
- Attends qui n'a pas Facebook au vingtième siècle ?
- Bah eux.
Elles s'échangeaient un regard complice et gloussaient. Camille rabattait la partie supérieure de l'ordinateur tout en riant, un fou rire de passage qui avait l'air de s'éterniser, elles riaient tellement fort que des regards se posaient sur elles. Leurs rires se calmaient petit à petit pour laisser place à un beau sourire commun, mais leurs sourires s'effaçaient à l'idée d'être séparée. Elles se regardaient un moment avant qu'une des deux fini par baisser les yeux, c'était la seule pensée qui pouvait gâcher leurs vol. Callista était toujours là pour Camille, pendant un moment la cadette se faisait racketter et Callista n'allait pas de main morte pour montrer qu'il ne fallait pas touchait Camille
La plupart des gens qu'elle à tabassait arriver à l'hosto et elle en garde à vue, mais dans les moments de tristesse c'était Camille qui était là pour Callista. Elle lui faisait oublier sa tristesse et reprendre gout à la vie, mutuellement elles se sont soutenue. Leurs vol se finissait dans un silence profond, aucune des deux avait le courage d'ouvrir la bouche, le temps paraissait si long. Quelque chose s'appuyait contre l'épaule de Callista, cette dernière osa un petit regard et remarque sa petite soeur, endormir. Elle souriait légèrement et fixait le hublot. Le temps avant couvert était maintenant dégagé.
L'avion finit par se posait dans l'aéroport, les deux New-yorkaise marchaient un moment avant d'atteindre le hall. Elles balayaient du regard le hall, Camille mordait sa lèvre, elles commençaient à chercher un peu partout dans le hall, mais aucune trace de Mycroft et de Sherlock Holmes. Au bout de longues minutes, les deux sœurs finissaient par s'asseoir sur un banc et attendaient qu'aux moins une personne daignera de leurs parlaient en leurs demandant si c'était pas eux Camille et Callista.
Mais les secondes se transforme en minutes et les minutes en heures et plus le temps passe et plus le monde dans hall se fait rare. Puis le soleil se couche et seulement une vingtaine de personnes flânaient dans ce hall gigantesque. Camille souffla.
- Tu crois qu'ils nous ont oublié ?
Ne savant pas quoi répondre, l'ainée préféra d'être silencieuse. Une heure passait encore, Camille prit son portable et regarde l'heure.
- Quel heure ?
- Nous sommes arrivés à dix-sept heures trente et là il est vingt heures douze.
- Putain... Fit Callista dans un soupire.
Au même moment, un homme se présenta devant eux, c'était une personne grande et droite comme un manche à balai, il avait la peau pâle comparait aux deux jeunes sœurs nettement un peut plus bronzées. Ses cheveux étaient coupés aux extrémités de ses oreilles, il avait une fine chevelure châtain coiffé sur le côté. Comme Camille, ses yeux sont d'un gris-vers brillant et perçant. Les yeux des deux sœurs restaient scotchés sur sa tenue chic et leurs yeux finissaient par descendre jusqu'aux chaussures bien ciré. Les deux sœurs finirent par se regardaient l'air interrogateur, est-ce un de leurs oncles ? Si c'était le cas comment saurait l'autre ? Elles se mordaient les lèvres pour ne pas pétaient de rire, là où elles viennent, elles ne verront jamais une personne de son style.
- Vous devez être surement Camille et Callista ?
- Malheureusement. Marmonna Callista.
Camille lui jetait un regard des plus amuser, leurs oncle resta silencieux avant de reprendre :
- Désoler pour cette attente, j'ai eu... Quelque indifférent avec mon frère.
Elles restaient muette et finissaient par se lever.
- Je suis Mycroft.
- Moi Callista et elle Camille.
- Bien allons y.
Rejoignant ses mots à son geste, il tourna les talons et s'éloignait du hall suivit des deux New-yorkaises. Mycroft hala un taxi, ce dernier s'arrêtait. Camille et Callista posaient leurs valises dans le confort et entraient dans le taxi noir. Camille était au milieu, Callista à droite et leur oncle à gauche. Le ciel n'était pas dégagé et il menaçait de pleuvoir, on leur a dit souvent qu'il faisait toujours mauvais en Angleterre et leur mère répétait toujours la même chose : "mais non, ce n'est pas vrai". Mais bon, faut croire que leurs potes avaient raison et pas leur mère. Entrées dans le centre de Londres, les deux sœurs resta scotché à la vitre du taxie noir, Camille était bouche bée devant les différents monuments et disait même que la cathédrale de Saint-Paul ressemblait plus au Capitole à Washington DC, le taxi entra dans une rue et continua de roulait. Callista jeta un coup œil à une pancarte accrochait à un mur montrant qu'ils sont à Baker Street.
- C'est ici que tu habites ? Demanda Callista.
- Non... pas moi.
La taxie s'arrêtait devant une maison à deux étages, Mycroft ouvrait la portière et descendait suivit de ces nièces. Elles prirent leurs valises et suivaient leurs oncle vers la porte, ce dernier frappa. Et maintenant ils attendaient.
- 221 b ? Chuchota Camille.
Mycroft frappait de nouveau et après trente secondes il levait les yeux au ciel et soupir légèrement. La porte finit par s'ouvrir laissant apparaître un homme grand et droit comme Mycroft, mais il avait quelque chose de différant. Sa peau est encore plus pâle que celui de Mycroft, elle se rapproche plus celle des cadavres que de celui des vivants, mais ce n'est pas ce teint de craie qui inspire un sentiment de froideur, non : ce sont ses yeux dans les tons pierre de lune en réalité. Bleu délavé et aussi dur que l'acier, perçants et vifs, semblables à ceux de Callista. Ses cheveux sont noirs comme l'encre et bouclés comme ceux d'un enfant, tombant sur sa nuque et son front en rondes emmêlées. Son visage était émaciée aux formes anguleuses et osseuses. Il avait des Pommettes hautes, lèvres étroites et bien marquées, nez fin et droit souligner d'un visage sans sourire. A croire que la vie le faisait ennuyait.
- Mycroft ? Je ne savais pas que tu passais aujourd'hui ?
- Arrête Sherlock tu le savais très bien que notre sœur nous a appelé... John n'est pas là ?
- A l'étage, c'est même lui qui m'a obligé d'ouvrir la porte que j'aurais dû laissait fermer. Aller entrer.
- Merci. Fit Mycroft qui entra.
Les deux adolescentes le suit et entraient à leurs tours et le fameux Sherlock ferma la marche. La décoration du rez-de-chaussé était spartiate. Le sol était fait de bois, le mur droit était bleu avec des lignes blanches et celui de gauche était gris foncer. Une table basse se trouvait à droite, avec dessus une lampe blanche, à côté de l'escalier un fauteuil marron au carré blanc. Si on continue tout droit légèrement à droite on n'arriverait à une porte qui mènerait sans doute à la cuisine. Le petit groupe montaient les marches de l'escalier.
- Madame Hudson n'est pas là ?
- Non elle est chez le médecin. Dit froidement Sherlock.
Cette froideur donna des frissons à Camille qui espérait tout bas de ne pas être avec lui. Ils entraient dans une autre pièce. Le sol était toujours fait de parquet au milieu de la pièce se trouvait un tapis rouge aux différentes formes bleues, en face d'eux un mur de couleur gris avec deux grande fenêtre au rideau blanc. Il y avait aussi un petit bureau ou se trouvait plein de papier et surtout du bordel. Au-dessus une tête de vache, intriguer, Callista fit une drôle de mine. Le mur de gauche était fait d'une tapisserie jeune avec des fleurs de Lys de couleur marron avec bien à gauche un Smiley jaune. Un homme était d'assis sur un fauteuil rouge en face de lui un autre fauteuil. L'homme se levait est salua amicalement les nouveaux venus. Cet homme avait des yeux en forme d'amande, d'un marron très clair tirants limite sur l'ambre, ses cheveux bruns, plutôt cours, évoluent sur sa tête sans aucun style particulier. Comparé à Sherlock, il a un teint plutôt terne. Pour sa tenue rien des plus normal : chemise repassée, veste qui retombe bien sûr les épaules, jeans et basket.
- Vous devez êtres les nièces de Sherlock et Mycroft, je suis John.
- Moi c'est Camille et elle Callista.
- On peut en finir ? Demanda Sherlock.
John et Mycroft eurent un soupir commun. John rentre dans une autre pièce qui se trouvait juste derrière le fauteuil rouge. Mais il revient de suite.
- Vous venez ?
Callista et Camille entraient dans la pièce qui s'avérait être la cuisine, elles s'asseyaient ainsi que Mycroft, John et Sherlock. C'était maintenant qu'elles allaient savoir qui ira avec qui.
- Bon voilà, vu que Sherlock et en ce moment sur une affaire très délicate et que moi j'ai des gros problèmes à régler vous serez séparé pour qu'on puisse s'occuper de vous pleinement. Dit Mycroft en jetant un regard noir à son frère cadet.
Ce dernier soupir.
- On va faire simple Mycroft, Camille ira avec toi et l'autre avec moi.
Tous les regards sont rivé sur Sherlock qui resta muet. Le détective fini par se levait et s'approchait de la fenêtre. La sirène d'une voiture de police retentis. Sherlock grimaça légèrement et soupire, il finit par se retournait vers les autres.
- Alors, ça vous vas comme ça ?
- Moi je ne dis pas non. Dit Camille à sa sœur.
Elle l'avait espéré de ne pas être avec lui... il était tellement froid cet homme. Trois personnes déboulaient dans la pièce. Celui du milieu avait des cheveux courts, coupés le plus droit possible de couleur noire griser sur le côté et il avait les yeux bruns, sont teint et bronzé ce qui lui va bien. Une femme se tien à sa droite, grande cheveux bouclé de couleur marron et le teint métisse et le troisième avait les cheveux court et épais de couleur noire.
- Tien Lestrade... Je vois que tu as emmené toute ta clic. Dit Sherlock
- C'est mon équipe.
Le regard Lestrade se pose sur les deux adolescentes, mais ne prêtait guère attention pour le moment.
- Nous avons un problème.
- Laisse-moi deviner, les trafiquants ?
- Oui, règlement de compte cette fois. Deux cadavres trouvait au bord de la Tamise et ...
- Téléphone.
Tous les regards se posaient sur Camille et quelque seconde à peine le téléphone sonna. Il y a eu un temps de silence ou pendant un cour instant le téléphone sonna. Mais ni Sherlock et ni John se donne la peine de raccrocher.
- Ils vont rappelé. Dit Sherlock en se retournant vers Lestrade.
- Excusez-moi... mais qui sont ses deux jeunes filles ?
- Je m'appelle Callista et elle c'est ma petite sœur, Camille.
- Elles sont de passages.
Sur ces mots Sherlock descenda suivi de Lestrade et des deux autres et il ouvrait la porte. Lestrade resta planter devant lui et ne sort pas.
- Je vous suis.
Quand Lestrade est son équipe sortait de la maison, Sherlock la refermait dans un claquement et la fermait à double tour.
- Sherlock ! Ouvrez tout de suite !
- J'ai d'abord un problème familiale à régler.
Sur ces mots il remontait les marches et entra dans la pièce. Camille était près de Mycroft et elle tenait les bagages dans ses mains.
- On ne va pas t'embêter plus longtemps... A bientôt.
Sur ces mots Mycroft sort de la maison avec la sœur cadette. Sherlock sans dire un mot empoigna son violon et se mit à jouer. Callista s'asseya et elle écouta son oncle joué. Il joue vraiment bien et il avait quelque chose dans cette mélodie, quelque chose de sincère. Elle pouvait rester ici pendant des heures à écouter quelqu'un joué un instrument de musique, d'un côté c'était la première fois qu'elle était en admiration devant quelqu'un enfin plutôt la deuxième fois, car le premier était Arsène. Callista commença à rêvasser, les deux mains retenaient sa tête, mais elle revenait à la réalité quand une main se pose sur son épaule.
- Viens, je vais te montrer ta chambre.
Elle se levait à contre cœur et s'éloignait de cette mélodie envoûtante, ils sortaient de la pièce et tournaient à gauche après cinq pas ils s'arrêtaient devants une porte. John ouvrait la porte, cette pièce était de taille moyenne, le sol fait de moque bleu et le mur blanc. Il y avait qu'un lit, une table de nuit et un bureau avec une lampe.
- Merci, au faite quel est ton métier et celui de tonton.
- J'étais un ancien médecin militaire et je suis maintenant assistant détective. Et Sherlock et le seul détective consultant. Je te laisse t'installer.
John sort de la chambre, Callista posa ses deux valises et s'allongeait sur le lit en se demandant si tout se passe bien pour sa jeune sœur.