Tsuki à des cheveux mi-long rouges framboises, ceux-ci paraissant plus foncé dans l'ombre mais plus clair au soleil, logiquement. Et oui, c'est sa couleur naturel ! Cela contraste bien avec sa peau blanche et fine, quoique assez sensible. Sous ses longs cils, la jeune fille a des yeux très expressifs de couleur rouge aussi, lui donnant un air enfantin. Elle possède des formes féminines développées : Une belle poitrine, des hanches... Et pourtant, croyez-le ou non, mais cela l'énervera pendant un bon bout de temps. Pourquoi ? Et bien, parce que celui lui arrive de se travestir en garçon de temps en temps, et cacher ses formes n'est par une mince affaire. Tsuki essaie parfois de paraître calme, sérieuse et neutre, mais sa curiosité et son manque de contrôle sur elle-même finissent toujours par la trahir. Niveau style vestimentaire, elle porte souvent des choses légères et de couleur blanche préférablement. Elle mesure 1m55, la rendant assez petite. Elle arrive la plupart du temps aux épaules des garçons, mais cela ne l'intimide point.
En effet, Tsuki a un fort caractère. Ayant été une star, elle devait se comporter poliment, gentiment et fragilement, mais si vous la connaissez vraiment, elle est tout le contraire : Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et elle sait prendre la défense des autres quand elle estime qu'ils ont besoin d'aide. De nature honnête, elle ne se gêne pas de dire ce qu'elle pense et elle n'essaie pas de cacher sa vraie personnalité. La fille aux cheveux de flamme est très protectrice envers les personnes qui lui sont proche, accordant beaucoup plus d'importance à eux qu'à elle-même. Elle est prête à se sacrifier pour les aider, au risque de nuire à sa santé, et prend toujours un air confiant et déterminé afin de les rassurer lorsque la situation ne va pas. Tsuki est optimiste et cherche toujours à voir le bon côté des choses. Enjouée et souriante, elle n'aime pas les trucs trop sérieux sauf si la situation en vaut la peine. Étant crédule, cela lui arrive de croire à tout ce qu'on lui dit. Côté innocence, elle ne connait rien du domaine... osé. Vous pouvez lui dire que vous voulez la violer, elle vous demandera qu'est ce que cela veut dire.
Par contre, elle a aussi des défauts. Elle est colérique et impulsive. Elle ne sait pas contrôler ses sentiments et agit parfois sans réfléchir. Elle n'accorde pas beaucoup d'importance à l'autorité, disant à un adulte par exemple « Salut ! » de manière amicale plutôt que de respectueux. Ayant vécu avec l'espèce masculine sans aucune fille en sa présence, elle se fit beaucoup influencer par celle-ci. Effectivement, son orgueil -qu'elle développa à cause d'eux- fait en sorte qu'elle répond trop facilement à la provocation des autres (surtout celle des garçons) et elle ne peut refuser un défi. Mis à part ça, Tsuki, obstinée et têtue comme une mûle, n'abandonne jamais, ce qui lui causera souvent des ennuis. Elle pardonne facilement, étant compréhensive et à l'écoute mais dans de rare cas, elle peut être très rancunière. Si vous avez quelque chose qui vous fait mal, que ce soit un problème ou une peur, ne vous gênez pas de lui en parler : Tout ce que vous lui confierez ne sortira jamais de sa bouche. Donc, quand vous êtes en sa présence, lâchez-vous !
Et vive la vie ! |
Tsuki a mené une vie pas commune. Comme quoi, être une star n'était pas chose courante ! Pourtant, Tsuki, elle... Elle n'avait jamais demandé ça.
Piégée, prisonnière, enfermée, seule. Tout cela, elle ne l'avait jamais demandé.
Vous voulez savoir ce qui s'est passé ? Et bien...
Tout a commencé par un accouchement. Un accouchement douloureux, chose tout a fait normale en ce monde. Ensuite, un bébé. Une fille. Une jolie petite fille. Dès sa première bouffée d'air, elle explosa en larme. Chose tout a fait habituelle en ce monde. Mais pourtant, avec la suite des événements qui se suivront, on se demande si ce bébé pleurait d'être né dans cet univers cruel, où un destin des plus indésirables et des plus douloureux l'attendait.
Layla Sovanna. Tel était le nom choisit pour cette enfant née au clair de lune.
Des secondes, des minutes, des heures, des jours, des semaines, des mois, des années passèrent. Une période d'apprentissage et de sérénité pour notre petite fille pleine de vie. Cela aurait pu durer jusqu'à la fin de ses jours si elle n'était pas sortie dehors cette journée là. Le beau soleil et la température parfaite l'attirait à l'extérieur. Elle obéit à son instinct, tombant inconsciemment dans le piège sans scrupule du destin. Une fois le soir venu, elle rentra chez elle et vit ses parents dans le salon en train de parler à un bel homme en costume-cravate. Les trois adultes la remarquèrent et sa mère se dirigeait vers elle précipitamment, la serrant dans ses bras avec un sourire d'extase. Elle lui demanda qu'est ce qui se passait et comme réponse sa mère l'emmena au salon et la fit asseoir devant l'inconnu. Celui-ci la regarda intensément, observant chaque parcelle de son corps, chose qui l'à rendit mal à l'aise. Il se retourna vers ses parents et hocha la tête.
« - De loin elle était très mignonne, mais de près elle l'est encore plus ! Vous avez crée un vrai petit ange. », avoua-t-il.
Et les blabla s'en suivirent. Au fait, elle ne comprit pas vraiment ce qui se passait, jusqu'à ce que son père se retourna vers elle, avec le même sourire étrange, le même sourire béat que sa femme. Il lui dit alors que c'était un manager qui l'avait remarqué et suivit il y a longtemps.
« - Et devine quoi.. Il va te prendre sous son aile ! Tu vas devenir une star ! », termina son père joyeusement.
Une star. Ce travail où tout le monde sourit, où tout le monde danse et chante, où on est connu et aimé dans le monde entier. Layla... ne le voulait pas. Elle aimait sa vie ! Pourquoi changer si soudainement ? Bien évidemment, elle n'eu pas son mot à dire et n'écouta plus la conversation. Elle finit par demander si elle pourrait toujours revoir sa famille et ses amis. Le manager du nom de Kuro sembla hésiter. Être une star connu devait aussi impliquer des sacrifices, tel le temps, l'innocence et les anciennes personnes auquel on tien. Il savait que si il le lui disait, elle allait refuser, donc il choisit la voix du mensonge : Il tenait vraiment à avoir cette petite comme idole : il serait riche si il réussissait !
« - Bien sur que tu pourras jouer avec tes amis ! Et tes parents seront fiers de toi. Alors, tu veux ? », demanda-t-il.
Menteur.
C'était une question pour elle, mais ses parents répondirent à sa place, lui disant que c'était sûr que leur fille le voulait. La petite ne pouvait absolument rien ajouter. Elle regardait le manager. Elle avait peur de lui. Depuis longtemps il l'observait et la.... suivait ? Pourquoi a-t-il fallu qu'il vienne ? Pourquoi a-t-il fallu qu'il brise sa vie quotidienne et sans souci ?
Et ses parents, pourquoi avaient-il accepté sans lui demander son avis comme d'habitude quand un choix par rapport à elle survenait ?
De toute façon, personne ne dirait non à une fortune...
Quand Kuro partit, ses parents paraissaient au bord de l'extase. Ils sautèrent au cou de leur petite fille et lui félicitèrent d'avoir accepter ce contrat.
Tant que ces parents sont contents et qu'elle pourra toujours jouer avec ses amis, il n'y avait aucun problème, non ?
Le lendemain, tout ce passa si vite. Dès qu'elle se réveilla, elle vit ses bagages. Elle allait vivre avec son manager ? Ses parents allaient lui manquer. Ensuite, elle alla dire un petit au revoir à ses camarades de classe, leur rassurant que Kuro lui avait dit qu'elle pourrait les revoir.
Mensonge innocent.
Dès sa parution dans les magazines, Layla fut vite populaire. Sa vie ne se composait que de comédie, d'interview, de chant et de séance photo. Elle était connu pour son honnêteté surprenant et sa gentillesse, étant donné qu'à chaque fois qu'elle gagnait un gros lot, elle demandait toujours à ce qu'on le donne aux gens dans le besoin. Layla voulait mainte et mainte fois aller faire un tour chez ses parents ou bien jouer avec ses amis lors d'un weekend, mais la réponse de son manager et de son directeur fut toujours non. Ils lui répondirent qu'un jour elle pourra être libre, mais que pour l'instant son horaire était trop chargé. Alors elle patienta, quoi qu’impatiemment.
Tout cela s'était passé lors de ses 8 ans.
La petite fille avait grandit depuis. Elle avait désormais 10 ans.
Son impatience devint un besoin, une obsession. Depuis combien de temps elle n'avait pas pu parler à ses parents réellement et non par téléphone ou par webcam ? Depuis combien de temps elle n'avait même pas pu sortir jouer au parc ?
Elle commença à douter sur les anciennes paroles que son manager lui avait dit. Et sa vie continua ainsi, toujours le même scénario. Layla voyait sa vie comme un grand spectacle. Une vie où elle avait pigé un rôle dont elle ne voulait pas. Elle sentait que son corps ne lui appartenait plus, que celui-ci était contrôlé par son studio.
Et elle commençait à en avoir marre.
À ses 13 ans, elle fugua.
Elle courra le soir chez elle, vers sa vrai maison. Elle se sentait lourde malgré le fait qu'on ne la faisait pas beaucoup manger afin qu'elle garde la taille qu'ils désiraient. Plus elle grandissait, plus elle comprenait. Plus elle comprenait, plus elle avait peur. Elle avait déjà tenté de fuguer un jour, durant un après-midi, mais il avait suffit qu'une personne crie son nom pour que toute la population tournent leur tête vers elle. La petite avait dû se cacher dans un magasin jusqu'à ce que les personnes à l'intérieur la remarquèrent aussi. Des gens se bousculaient, des enfants tombaient et pleuraient, tous ayant perdu leur parent dans cette foule. Layla avait semé le chaos ce jour-là. ELLE. Puis une petite fille mignonne qui avait le même âge qu'elle lorsqu'elle à été emmené par son manager, se tourna vers elle et lui dit avec un sourire innocent ;
« - Tu es mon idole ! Je t'adore Layla ! Je t'envie vraiment aussi. Je souhaite être comme toi quand je serais grande ! Je deviendrais une star comme toi, oui ! »
Et pour une fois, pour une fois que c'était elle qui n'était pas innocente face à quelque chose, Layla se brisa. Elle faisaient rêver des choses aussi horrible aux enfants... À cause d'elle, si ils réalisent leur rêve d'être une idole, ils ne pourront plus voir leur parent et leur amis. Tout ça à cause d'ELLE. Avec tout ce chaos, son manager put la retrouver et la ramener "à la maison". Elle fut enfermé dans le noir de sa chambre pendant quelques jours, histoire de la punir de sa fugue. Layla était prisonnière. Elle étaient prisonnière d'elle-même. Elle était prisonnières de la fausse Layla que son travail avait crée.
Oui, tout ça c'était passé lors dans sa première fugue, mais la deuxième était différente. La vérité était encore plus cruelle. Elle était arrivé chez elle, sa VRAI maison. Là où habitent ses parents.
... Là où HABITAIENT ses parents.
Un vieille dame répondit à sa place, et lui dit que les anciens locataires avaient déménagé plus loin. Ils étaient désormais dans le quartier des riches.
Comment ? Ses parents n'avaient pas des boulots payant au point d'être riche à ce point. Non, en fait elle avait une idée, mais... Non. Juste non.
... Peut être ?
Après avoir réussit à avoir l'adresse de leur nouvelle maison grâce à la vieille dame, elle se dirigea en taxi - grâce à la gentille femme, encore - chez eux.
Une fois rendu devant la maison, bizarrement, elle se sentait stressée, perdu et effrayée alors qu'elle attendait de les revoir en chair et en os depuis longtemps. Elle sonna à la maison de 3 - ou même plus ? - étages, puis attendit, ses sens lui criant de s'enfuir. Lorsque la porte s'ouvrit, elle sourit devant leur visage surpris, puis les serra dans leur bras.
« - Mais qui êtes... Layla, ma chérie ! », lancèrent en chœur ceux-ci, finissant par se souvenir d'elle.
Layla se dit qu'ils avaient eu un petit trou de mémoire surement à cause du choc. Du moins, elle espérait. Mais bon, il y avait plus important : Elle voulait en finir avec ce cauchemars.
« - Je ne veux plus être une star. C'est affreux ! Ils m'obligent à faire des choses dont je ne veux pas, comme mentir et plus pire ! », lâcha-t-elle, désespérée.
Le visage surpris des deux adultes se transformèrent petit à petit en visage stressé, mal à l'aise. Ils lui firent la leçon qu'ils ne faut pas abandonner, qu'elle ne devait pas faire des choix rapidement et que le fait qu'elle veuille arrêter est une résolution folle, mais Layla s'obstina à refuser. Alors ils devinrent... fâché. Non, furax. Ils se mirent à dire qu'elle exagérait, que devenir une star était pas donné à tout le monde et qu'ils l'interdisaient d'arrêter. Elle continua à refuser, leur disant que depuis le début de sa carrière et même avant celle-ci, elle ne souhaitait pas devenir populaire : C'était EUX qui avaient fait le choix pour ELLE.
« - NON ! Tu ne peux PAS arrêter ! Et nous on va faire comment ?! Si tu arrêtes ta carrière, on aura plus d'argent !, expliqua sa mère en colère.
- Non, vous avez encore vos métiers !, répliqua Layla.
- NON JUSTEMENT ! ON A ARRÊTÉ DE TRAVAILLER ! LA FORTUNE QUE TU NOUS DONNE NOUS SUFFIT DÉJÀ POUR AVOIR UNE VIE DE LUXE !, cria son père.
- ... Mon argent ? »
... Voilà. Destinée cruelle, vérité cruelle.
En fait, DÈS qu'elle à commencé sa carrière, tout son argent allait chez ses parents. Toute les fois où elle demandait de faire don de sa fortune envers les gens dans le besoin... Son manager ne l'avait pas écouté.
Elle n'en pouvait plus.
Ses parents l'emmenèrent en voiture vers sa "maison" actuelle et ils partirent aussitôt, prévenant leur fille de ne plus refaire de fugue. Layla ne s'était pas débattu, elle était beaucoup trop brisée pour ça. Bien évidemment, elle fut encore enfermé pendant un long bout de temps dans sa chambre noire et vide. Elle n'avait jamais eu le temps de la décorer. Il y avait juste un lit et un bureau, puis une salle de bain privé relié à sa chambre. Noir. Tout ses meubles noirs. Pourtant, sa couleur préféré était le blanc. Elle se sentait en sécurité dans la lumière. Sa chambre était le contraire d'elle. Layla savait qu'elle ne pouvait pas être enfermée plus d'une semaine, étant donné qu'elle avait un emploi de temps chargé, mais ce petit laps de temps lui permit de faire une décision ;
Fuir. Toute seule, loin. Très loin de cette ville, de Tokyo.
Elle prépara sa fugue finale soigneusement et 2 ans plus tard elle se sentait prête. Layla avait 15 ans lorsqu'elle fit sa dernière fugue. Elle avait économisé de l'argent petit à petit, prenant en cachette un peu chaque semaine étant donné qu'elle n'avait pas le droit. Maintenant elle en avait assez pour prendre l'avion et se louer une place dans un hôtel. Sa destination ? Elle ne savait pas. Elle ne connaissait rien des autres endroits à par Tokyo et des faux paysage où elle devait tourner des scènes pour un film. Mais bon, n'importe quelle ville fera l'affaire. Durant ces deux années de préparations, elle fit très attention aux maquilleuse et prit des notes. Elle savait maintenant comment faire pour ressembler exactement à un garçon. Elle prit une perruque de gars - d'expert, paraissant plus réelle que si elle coupait sa propre chevelure - de la couleur et la texture exact de ses cheveux, comme ça, si une mèche finissait par tomber, on y verrait aucune différence. Pour le maquillage, elle apprit à rendre son visage plus masculin et pour ce qui est de sa voix, son travail d'acteur se chargea durant toute son enfance à imiter toute sorte de chose, dont parmi elles des voix masculines. Son prénom sera Tsu. Bref, elle était prête. Sans doute un peu trop exagéré comme précaution mais sûr et fiable.
Une fois déguisée et sortit de la maison en cachette, elle, Tsu, prit un taxi qui l'emmena directement à l'aéroport. Tout se passa bizarrement. Oui, tout était normal : Aucune foule en folie qui lui courrait après et pas d'interview. Son camouflage était parfait. Une fois renseigné légèrement sur les villes aux alentours, elle choisit Okinawa. Elle rêvait d’aller sur la plage, une VRAIE plage, pas une artificielle lors de ses tournages. Elle paya son billet et vérifia si elle il lui manquait quelque chose. Rassurée, elle partit directement dans l'avion et attendit impatiemment décollage.
En fait, tout c'était bien passé. Tout le long du voyage elle regarda le paysage d'une manière éblouie, telle une enfant qui découvrait le monde. Son innocence égalait celle d'une huit ans. Tout le reste de sa vie suivant cette âge se concentrait sur sa carrière d'actrice, bloquant l'épanouissement de sa curiosité. Maintenant elle pourrait enfin tout savoir.
Une fois arrivée, elle n'eut même pas besoin d'aller dans un hôtel ; Un garçon avec qui elle fit connaissance dans l'avion lui proposa de vivre chez lui avec ses amis. Elle accepta avec joie, non effrayée par l'idée de vivre seule avec des garçons. La seule chose dont elle devra faire attention c'est de tenter de garder sa fausse identité masculine cachée. Quand Tsu y pense, elle n'a pas vraiment passé sa vie avec des filles. Elle avait pratiquement eu juste des amis masculins, celle-ci partageant la même passion qu'eux ; sport, bataille et jeux vidéos.
Finalement, Tsu put enfin avoir une vie paisible.
Elle finit quelques mois plus tard par avouer à sa nouvelle famille - les garçons - qu'elle était une fille et du même coup la star disparue annoncée dans les nouvelles. Elle fut soulagé qu'ils comprirent sa situation, quoique fâchés qu'elle leur avouait ça maintenant et non avant. Mais malgré tout elle resta avec eux.
Un an plus tard, ils lui annoncèrent qu'ils allaient faire leur étude en Amérique. Par contre, elle décida de prendre sa vie en main sans l'aide de personnes et choisit de retourner à Tokyo. Ils acceptèrent et lui donnèrent les clés de la maison en ajoutant qu'elle pourra toujours les rejoindre aux États-Unis.
Pour Tokyo, il lui fallait changer d'identité.
Les gars s'en chargèrent ; Tsuki Ako.
Tsuki car c'était lors d'une nuit où la lune était belle qu'elle vint vivre avec eux - de plus, cela faisait du sens étant donné que lorsqu'elle se fait passer pour un garçon, elle se fait appeler Tsu - et Ako pour le nom de famille d'Haru, le gars qui lui avait proposé de venir chez lui. Celui-ci était vraiment l'homme le plus proche d'elle. Ils s'entendaient tellement bien qu'on aurait juré qu'ils étaient de la même famille. Tsuki - Tsu' quand elle se fait passer pour un mec - était tellement contente. Elle sentait vraiment être défaite de ses liens douloureux. Personne à Tokyo ne pourra la reconnaître ; son nom, l'oubli des événements pars les gens et le fait que lorsqu'elle était star Tsuki était toujours maquillée tandis que maintenant elle reste naturelle la rassurèrent. Et puis au pire, l'excuse d'être une sosie marchait toujours.
Maintenant la voila, déambulant dans les rues de Tokyo, cherchant un endroit où dormir sans devoir trop dépenser l'argent que sa nouvelle famille lui avait donné. Demander de l'héberger était la seule idée qu'elle avait, espérons juste qu'elle tombera sur de bonnes personnes.
Et puis, qui sait, peut être qu'elle pourra agrandir la famille ?
Des amis qui s'ajouteront dans sa vie, des amis qui la reconnaîtront en tant que Tsuki Ako et non Layla Sovanna, la star artificielle.
Son rêve ?
Profiter de sa liberté en vivant sa vie à fond !
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