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Les (més)aventures de Kazemaru Ichirouta - Validé

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Kazemaru IchiroutaKazemaru IchiroutaInazuma Team
Masculin Belgique Age : 30
Date d'inscription : 03/04/2012
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Les (més)aventures de Kazemaru Ichirouta - Validé Empty
MessageSujet: Les (més)aventures de Kazemaru Ichirouta - Validé Les (més)aventures de Kazemaru Ichirouta - Validé EmptyDim 8 Avr - 21:07

KAZEMARU ichirouta

Nom & Prénom ::
Kazemaru Ichirouta
Âge ::
16 ans
Sexe ::
Masculin
Nationalité ::
Japonais

Profession ou études ::
Lycéen
Lieu de résidence ::
Tokyo
Situation financière ::
Moyenne

Situation amoureuse ::
Célibataire
Orientation sexuelle ::
Depuis longtemps en questionement
Les (més)aventures de Kazemaru Ichirouta - Validé Nathan10

Physique et Psychologie
Biographie

Grand ? Non, je ne me trouve pas si grand ! Je ne suis pas parmis les plus petits de mon entourage, c'est vrai, mais je pense que je suis juste un peu au dessus de la moyenne. Et pour cette taille, je dois dire que je me case plutôt dans la catégorie des poids plumes. C'est vrai que je suis un sportif mais étrangement, j'ai une physionomie qui rend mes muscles discrets. Après tout, je n'y peut pas grand chose si j'ai naturellement des traits délicats. Même mon visage, sincèrement, ne dégage pas une impression de force, entre mon nez fin, un peu en trompette, et mes sourcils estompés. Mes cheveux bleutés, une fois attachés en queue-de-cheval, ont une longueur suffisante pour me fouetter les épaules lorsque je cours. J'ai toujours aimé les tenir longs, mais paradoxalement, lorsque je les lâches, ils se mettent à me gêner, en s’emmêlant pour pas grand chose. Peut importe comment je les coiffe, il y a toujours une mèche nacrée pour se rebeller et s’échapper au mouvement du reste de ma chevelure. En faite, mes cheveux ne sont pas vraiment ondulés, mais un mouvement dedans les empêche de vraiment pouvoir être qualifié de cheveux raides. Une mèche cache sans cesse l'un de mes deux grands yeux marrons - voir un peu ambré - le gauche pour être précis. A force, je ne la voie même plus. Attention ! A décrire ainsi ma crinière, je suis sur qu'on m'imaginerais en marginal accomplit ... Je ne ressemble pas à n'importe qui, je crois, mais je ne suis pas pour autant un pur excentrique. Je veux dire, ma peau n'est pas tatouée ou percée, même si ça ne me dérangerais pas en sois, puis je ne m'habille pas de manière extravagante. Je suis plutôt adhérant aux vêtements souples et confortables, même si en faite jusqu'ici, j'étais pour la plus part du temps en tenue de sport ou en uniforme ! De toute manière, je n'ai pas non plus un caractère exubérant ou suffisamment d'audace. Non mais, c'est vrai, je suis quelqu'un de calme en général. Il faut dire que je pense beaucoup et, même si je ne suis pas le mec le plus social du monde, ça ne fait pas pour autant de moi quelqu'un de timide. Je ne suis pas de ceux qui oublient de raviver leurs relations, j'aime être avec mes plus proches amis mais je ne tourne pas pour autant la tête aux nouvelles connaissances, je pense que je suis quelqu'un de plutôt aimable et accueillant. Et jouant au foot, je me suis prouvé à moi-même que je pouvais même être un bon leader, attentif à ses coéquipiers ! Mais derrière ce côté posé et assez sympathique, il faut savoir que je suis aussi quelqu'un de sensible. Je bouillonne d'émotions et de sentiments parfois en conflit les un avec les autres et qu'il m'arrive d'avoir du mal à comprendre moi-même. Je suis également quelqu'un de compétitif, j'aime me donner à fond. Même si je ne suis pas fait de glace, je les canalises aux mieux avant d'en faire part ; Je suis expressif mais pas de trop. Et puis ... Il se trouve que j'ai un petit problème de confiance en moi, je crains facilement d'être un boulet pour m'en entourage. Ça me rend vulnérable aux critiques trop sévère, même si d'habitude je les écoutes avec attention pour en tirer des enseignements, mais pas que cela. La peur de mal faire me pousse aussi à être toujours très respectueux. Pour exemple, je ne me permet presque jamais d'appeler quelqu'un par son prénom, même pas Endou ou Miyasaka. Il faut dire aussi qu'on me le rend bien et que personne ne m'appel autrement que Kazemaru. Quand j'ai un service à demander, je l'introduit toujours prudemment, réceptif à l'humeur de mon interlocuteur. Autre chose ; Je suis vite jaloux. Je suis jaloux dans le sens où - je l'avoue - j'aime que mes proches me prêtent de l'attention, je suis un gouffre à affection, et donc j'ai du mal à accepte d'être, dans la tête d'un ami très proche, posé sur le même piédestal que quelqu'un d'autre. Mais je suis également jaloux dans le sens où j'aimerais garder le niveau dans tout les domaines, j'envie ceux dont la force est trop largement supérieur à la mienne. Mais ça n'a pas que du mauvais, ce trait de caractère à fait de moi un travailleur plutôt sérieux. Et je dirais même, quelqu'un de perfectionniste. Juste un peu trop, parfois. Mais attention, je ne suis pas pour autant un vantard ! Je suis relativement humble et objectif.

Vous savez, je n'ai jamais été très doué pour parler de moi, ce n'est pas quelque chose que je fais spontanément. Mais je suppose que je devrais commencer par le début. Bon. Alors ; Je suis né un dix-huit Mars dans la capitale japonaise. On m'a parfois dit que ça n'était pas vraiment voulu. Sympathique, n'est-ce pas ? C'était sois disant pour me faire taire que mon père me coupait par ce genre de remarque, du moins c'est ce qu'il disait quand il tentait maladroitement de se rattraper. Mais puisque je n'ai plus que lui, il doit bien y avoir du vrai là-dessous. Je n'ai pas de souvenir de ma mère, elle est partie quand j'était très jeune, je n'ai jamais vraiment su pourquoi, mais depuis, elle ne donne plus aucun signe de vie. Ah, mais je sais bien que je ne suis pas le plus à plaindre ! Je ne l'ai même pas connue, je ne peux pas sincèrement la regretter. Parfois, j'y pense, c'est vrai, mais même si ça laisse un manque, je ne sais pas si je suis près à croire que cela m'ai traumatisé. Mon père me l'a toujours décrite comme une femme irresponsable. Lui, il n'est pas méchant, je pense, c'est juste qu'il n'est pas très patient, pas très diplomate, c'est pour ça qu'il m'est déjà arrivé de prendre des claques dans la figure. C'est juste sa façon à lui de montrer son autorité. D'ailleurs il m'a vite lâché la bride, en quelque sorte. Après tout, tant que je suis sérieux dans mes études, tant qu'il n'apprend rien de moi qui lui déplaise, lui il a plus important à faire que de me faire la morale pour des broutilles ou mettre le nez dans mes fréquentations. On ne partage pas grand chose. Je dirais même qu'on n'a jamais rien fait ensemble, même pour ce qui était de m'amener à l'école quand j'étais gamin. Non, à la place, je faisais le chemin avec Endou. Endou c'est un ami de longue date, on se connait depuis notre petite enfance, d'ailleurs on était encore plus proches à l'époque qu'on ne l'est aujourd'hui, on passait tellement de temps ensemble ! Avec le recule, je me dis que si il n'avait pas été ce qu'il est, il en aurait vite eu marre, en faite. J'avais tellement tendance à le suivre partout où il allait ... C'est à dire que, aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours eu beaucoup d'admiration pour lui. C'était même plus que ça, si je pouvais lui rendre service, ou lui donner quelque chose, ça me ravissait. C'était aussi l'époque où j'aurais vendu mon père pour pouvoir habiter chez lui. Ah, heureusement pour lui qu'avec le temps je suis devenu moins envahissant, le pauvre ! Même si j'ai un peu gardé de l'enfant affectueux et possessif que j'était, en devenant tout de même un peu plus loquace. C'est normal d'évoluer, diriez-vous, Endou aussi il a grandit. Quoi qu'il en soit, on s'est évidemment suivi au collège - le collège Raimon - jusqu'à être dans la même classe, lui et moi. Par contre, on n'a pas pris les mêmes décisions quand au choix de nos activités sportives ; Endou avait toujours voulu faire du foot dans un club et moi, ben c'est plutôt l'athlétisme qui me passionne. Je me souviens de la tête qu'il a fait en apprenant qu'il n'y avait pas de club de foot de notre collège et des pieds et des mains qu'il a du faire pour qu'on en instaure un ... J'étais de tout coeur avec lui, même si ça ne me concernait pas et ça ne m'a pas du tout étonné qu'il soit arrivé à ses fins ! Il a toujours été extrêmement têtu. Quand à son talent, je n'en doutais pas. J'avais déjà joué au football avec lui, c'était d'ailleurs à l'époque mes seules expériences en la matière ! Toujours est-il que je me suis - en toute modestie - avéré ne pas manquer de talent non plus. J'ai vite rejoint les meilleurs sprinteurs du club d'athlétisme ! Dans tout ça, mon plus grand fan, c'était Miyasaka. Il est arrivé un an après moi au collège et si je le connaissais déjà de vue, on s'est clairement rapprochés en partageant notre passion sportive. Je pense qu'à ce moment-là, on était déjà un peu moins proches, Endou et moi, mais toujours d'excellents amis. Oui, je me souviens que je ressentais que notre duo de choc avait changé et pour être honnête, je ne crois pas que ce sentiment était partagé. Endou avait trouvé une passion plutôt envahissante et ça devait être quelque chose de positif dans un sens, alors je ne lui ai pas trop parlé de ce que je pensais. J'ai plutôt partagé mes impressions avec Miyasaka, au début en tout cas, car après il m'a semblé que le sujet le gênait. C'est peut être en partie pour ça que je ne lui ai jamais proposé de rencontrer mon meilleur ami. Jusque là, ma petite vie était comblée par les cours, les entraînements et les visites régulières chez Endou. C'était bien aussi. J'étais souvent optimiste, bon élève et surtout, j'évitais de me poser des questions. Puis, un jour, Endou est venu me chercher pour me demander de jouer au foot dans son club qui manquait de joueurs. Apparemment il devait gagner un match amical pour le sauver ou quelque chose comme ça. Il n'a pas épilogué, il avait l'air pressé ce jour-là. Sur le coup j'ai trouvé que c'était une drôle d'idée, mais en y réfléchissant, je me disais que ce serait une bonne occasion de me rapprocher d'Endou. Le soir même, après avoir pesé le pour et le contre, j'ai décidé de lui en parler. Pas difficile de le retrouver, il était à son endroit fétiche, en pleine entrainement. Ses yeux brillaient d'une détermination naïve que je m'étais surpris à trouver touchante. Je ne pensais plus au club d'athlétisme, ni au reste, je me disais simplement qu'après tous les efforts qu'il avait faits pour créer le club de foot, je me devais de l'aider. Ce soir-là, j'ai eu un drôle de pressentiment. Quand je lui ai dit que je rejoignais le club, il m'a communiqué son enthousiasme ; Je croyais presque la victoire possible. Presque. Par contre, lorsque le lendemain je l'ai annoncé aux amis de mon club, la plupart ne semblèrent pas s'en réjouir. Peut être que mon départ ferait sourire l'un ou l'autre bon sprinteur du club qui souhaitait plus de place sur le podium, mais Miyasaka, particulièrement, ne semblait pas partager mon emballement et j'ai fait l'erreur de lui assurer que ce n'était que temporaire, que je n'abandonnais pas pour autant le club d'athlétisme. Après tout, je ne pouvais pas savoir que j'allais tant adhérer au foot. Le match en question, celui qu'on devait gagner pour que le club ne soit pas dissout, on l'a gagné par forfait. Si ça n'avait pas été de cette manière, on n'aurait jamais pu le faire, mais peu importait ; On avait battu Teikoku ! Ce n'était pas vraiment grâce à moi. Gouenji, un garçon qui avait été récemment transféré à Raimon, avait fini par nous rejoindre sur le terrain pour nous aider à marquer un but. Au début, il prétendait que c'était juste exceptionnel, mais au final il a rejoint le club, à la grande joie d'Endou qui semblait comme obsédé par ses capacités d'attaquant. On se sentait invincible avec lui lorsqu'on s'apprêtait à disputer d'autres matchs. Petit à petit, les gars l'on suivit et ont débloqués des techniques surprenantes. On s'est améliorés très vite, au point que, bientôt, on se retrouvait au Football Frontier. Un tournoi national, quand même ! On n'aurait pas osé y croire. Pour la première fois, je me sentais comme un véritable joueur de foot, ne demandant qu'à se confronter aux meilleurs. Mais alors qu'on avait déjà entamé le tournoi, Miyasaka m'a rappelé que je n'étais censé être que de passage chez les Raimon et que le club d'athlétisme avait besoin de moi. Et moi ? J'étais tellement bien avec Endou et son équipe que ça ne me semblait plus naturel du tout. J'ai réussi à persuader Miyasaka de venir voir le match contre l'équipe de Sengoku Igajima, peut être mon dernier. J'espérais tellement qu'il comprenne combien c'était important pour moi que mon souhait s'est réalisé. J'étais donc libéré de ma promesse et membre définitif du club de foot de Raimon, même si la sombre mine qu'avait fait mon ami du club d'athlétisme m'avais laissé un drôle d'arrière goût. Nous avons vaincu les équipes adverses une par une, les équipes les plus déterminées comme les moins honnêtes. C'était le cas de Teikoku, particulièrement de son propre entraineur : Kageyama Reiji. Après avoir abandonné cette première équipe, nous l'avons retrouvé en final du Football Frontier, en tant que nouvel entraineur de l'équipe Zeus, une équipe aux pouvoirs sur humains donné par un liquide appelé nectar des dieux. Et puis. Enfin. On a gagné. C'était super, je n'avais jamais ressenti autant de fierté, c'était comme dans un rêve. Mais ça n'allait pas durer, on rentrait au collège pour fêter notre victoire avec les autres - je mourrais d'impatiente de toute raconter aux gars du club d'athlétisme ! - mais ... Le collège Raimon s'était fait détruire par des prétendu aliens de l'Alia Gakuen. L'équipe se nommait Gemini Strom, avec son capitaine, Reize. Nous avons essayé de les vaincre en jouant en foot, mais nous avons perdu. Après le match, beaucoup de nos amis se sont retrouvés à l'hôpital, alors que moi je n'était que légèrement blessé. Et nous n'avions pas le temps de nous lamenté que l'on nous avait déjà confié une mission : Battre l'Alia Gakuen ! Pour cela nous devions devenir la meilleure équipe du pays, coatchée par Kira Hitomiko. J'ai à peine eu le temps d'en informer mon père. Je me souviens du ton lassé avec le quel il m'avait répondu. Il n'avait ni l'air inquiet, ni l'air fier, c'était peut être un bon compromis. Nous sommes donc partis à la recherche de joueur supplémentaires, puisque notre équipe ne pouvait pas se permettre d'attendre le rétablissement des blessés. Tout s'est enchaîné très vite après ça. De nouveaux joueurs nous en rejoint, mais surtout Gouenji est parti, à la grande surprise et déception de tout le monde. Pour le remplacer, on est allé chercher un garçon dénommé Fubuki Shirou. Jusque là, j'avais été le plus rapide des joueurs de Raimon, mais lui, il me surpassait. Ca m'a fichu un coup au morale. Même si jusqu'ici le réalisme avait pris une autre dimension, je ne croyais pas qu'on puisse battre Gemini Strom. La veille d'un nouvel affrontement contre cette équipe justement, alors que je discutais avec Endou, j'ai essayé de lui faire part de mes doutes. D'habitude, je n'aime pas tricher, mais vu les enjeux, je m'étais plusieurs fois demandé si on ne pouvait pas utiliser le nectar des dieux des Zeus. Biensure, Endou a refusé. Avec le recule, je me demande pourquoi ça m'a surpris. Même sans cela, on a fini par battre Gemini Strom avec l'aide de Fubuki, mais une autre équipe a fait son apparition, l'équipe d'Epsilon. Mon morale allait en se dégradant et je commençais à me sentir inutile. Je suis passé en dessous de la barre des zéros lorsque Kageyama est réapparu avec une nouvelle Teikoku. Il avait trouvé le moyen de manipuler les anciens coéquipiers de Kido, Genda et Sakuma. En les entendant parlé à Kido, en les attendant dire qu'ils voulaient devenir aussi fort que lui, je me suis avoué que je devais au fond un peu leur ressemblé. Après les avoir battu, je pensais sans cesse que je n'étais pas aussi fort que Gouenji ou Fubuki. Et surtout. Pas aussi fort qu'Endou. Je pensais que j'aurais donné beaucoup pour le comprendre. Nous avons dû nous battre deux fois contre Epsilon pour arriver à faire une égalité. Mais même après cela, ce n'était pas fini, comme je m'en était un peu douté. J'avais l'impression que ça ne cesserait jamais. Surtout quand nous avons rencontré Genesis. Nous avions déjà croisé son capitaine, qui s'était présenté sous le nom de Kiyama Hiroto. Endou avait sympathisé avec et nous étions tous loin de savoir qu'il était du clan ennemis. On a entamé contre eux ce qui allait être mon dernier match contre l'Alia Gakuen. Suite à une cuisante défaite, déprimé, horrifié et blessé, j'ai été transporté à l'hôpital. Les journées qui ont suivi m'on semblé être les plus longues. Je repensais sans arrêt à mon inutilité et surtout à Endou, j'espèrais qu'il allait bien et au fond, j'espérais aussi égoïstement qu'il laisserait tombé l'Alia Gakuen. Endou bel et bien est venu me voir une ou deux fois sans jamais m'annoncer la nouvelle que je désirais tant, mais sa présence me procurait déjà un certain plaisir malgré la honte idiote que je ressentais pour m'être retrouvé dans un état pareil. Par la suite, je ne l'ai pas revu. Biensure, il y avait aussi les visites régulières de Miyasaka. Il me semblait qu'il m'avait entièrement pardonné d'avoir quitté le club d'athlétisme et d'être si vite partis après le Football Frontier. Non pas qu'il aurait du se montrer rancunier selon moi, mais j'avais eu cette crainte en lui passant mes premiers appels après que la caravane Inazuma ai quitté Tokyo. Au contraire, il était comme plein de compassion à mon égare. Ça m'a touché, mais c'est tout. Endou ne m'avait jamais autant manqué. J'en était presque en colère. Je pensais aussi à Gran - Puisque c'était le nom de Kiyama à l'Alia Gakuen, apparemment - et à sa puissance que j'avais pu entre apercevoir. J'en était - j'ai du mal à l'admettre - jaloux. Lui, il pouvait comprendre Endou. Moi, je n'étais pas du même univers. Je pense que, quand il venait me rendre visite, Miyasaka devait en être conscient parce que j'avais l'impression qu'il tentait de me rassurer. Il n'y parvenait pas aussi bien qu'Endou, mais je me suis laissé prendre au jeu. J'imaginais que ces paroles étaient celles du capitaine. A y repenser, je ne savais pas vraiment pourquoi j'avais eu ce réflexe. A aucun moment je n'ai associé ça à l'admiration que je vouais à Endo et au manque d'affection qu'il m'avait laissé dans creux de l'estomac. Pour moi, je m'étais - Peut être - seulement trop habitué à ses encouragements. Je savais juste que Miyasaka, lui, il était là et que si je perdais un peu la tête, je mettrais ça sur le dos des médicaments qu'on me faisait avaler en bonne quantité. Mais alors, c'était eux qui me faisaient faire de si drôle de rêves ? Qui me faisait voir, dans un demis sommeil, Miyasaka parfois à mon chevet, alors qu'il devait être en cours ? Je ne me suis pas une fois demandé pourquoi il restait lorsque j'étais assoupi, mais plutôt pourquoi cette chaleur sur mes mains glacées ? Et ses étreintes tièdes qui, passé le stade de la gêne, arrivaient à me réconforter un peu lorsque j'imaginais un bandeau tenir les cheveux blonds de mon ami ? J'avais même, une fois, eu mal pendant plusieurs heures de m'être laissé surprendre par le poids de Miyasaka qui s'était effondré sur moi par maladresse. Du moins, je crois que c'était ça, de la maladresse. Ce rapprochement fulgurant devenait de plus en plus tactile et dans mon étrange illusion, j'avais mis du temps à emmagasiner la volonté nécessaire pour y mettre un frein. Et bien, c'est qu'après tout, on ne faisait rien de mal même si cette proximité ne nous ressemblait pas. Toujours est-il que j'ai finis par le faire, un jour où en sentant sa peau au contacte de la mienne, un éclaire m'a traversé l'esprit, quelque chose qui m'a mit sur la défensive. J'avais l'impression d'être comme un gamin qu'on aurait arraché à ses parents et qui cherchait un allier en guise de nouvelle maman. Sauf que, là, il ne s'agissait pas de la même affection. Non, il y avait des tentions, électriques, adolescentes. J'ai dis à Miyasaka de reprendre ses distances, posément, en essayant de ne pas le blesser. Ce n'était pas lui que je voulais voir. J'ai parlé, puis, j'ai plus parlé. J'ai beaucoup réfléchis. Trop, comme toujours. Et cet imbécile d'Endou, lui et son football ne me sortiraient donc jamais de la tête ? Plusieurs fois j'avais juré que j'avais été idiot d'accepter de le suivre jusqu'au bout du pays ; Voilà où ça m'avait mené, j'avais l'air bien malin ! Mais une fois la colère passée, je ne pensais plus vraiment mes paroles. J'avais eu ce que je voulais en quelque sorte, avait qu'on ai tous plus important à faire, je m'étais peut être un peu rapproché de mon meilleur ami en approchant sous un nouvel angle sa grande passion, et en prime, elle m'avait contaminé . Alors que j'étais de nouveau capable de tenir sur mes jambes, j'ai recommencé à m'entraîner au foot, pour vaincre l'ennui d'une nouvelle manière et en quelque sorte ma frustration. Les débuts furent plus douloureux que prévu, mes blessures - particulièrement mes côtes - n'étant pas tout à fait rétablies. Je m'efforçais à faire passer ça pour un détail. Comme un pauvre fou vulnérable. Je ne me souviens plus trop comment j'en suis arrivé là, mais lorsqu'un homme est venu me proposer plus de puissance, la jalousie et la colère, revenues en puissance, m'ont fait succombé. Sans m'en rendre compte et presque de mon propre gré, je m'étais jeté dans la gueule du loup, c'est-à-dire sous le contrôle de l'Alia Météorite.La sensation de puissance était grisante. Étant donné que j'était dans un état second, je n'ai pas pu en profiter autant que je voulais. J'étais devenu le capitaine des Dark Emperors. Nous attendions le retour d'Endou et des autres de pied ferme, pour leurs lancé un défi et les vaincre ! J'avais l'impression que je devais faire mes preuves. J'en frémissais rien qu'à y penser. Mais ça ne s'est pas exactement passé comme notre nouvel entraineur l'avait prévu ! Au début nous menions au score, mais le capitaine de Raimon réagissait différemment de ce que nous avions bêtement pensés. Il n'acceptait pas de devoir se battre contre nous. Alors, il s'est mis à essayer de nous dissuader de finir le match. Je n'ai pas des souvenirs très net de ce qu'il s'est passé, mais je me souviens avoir ressentit une tonne de sentiment à ce moment-là, tellement d'émotions d'un coup que cela en était infernal. J'ai essayé, sous le contrôle de la pierre, de m'en dégager, mais sans vraiment me rendre compte de ce que je disais, j'ai laissé échappé la raison de mon écart, en criant maladroitement à mon meilleur ami que j'avais besoin de cette puissance pour ne plus être un boulet pour lui. J'étais comme coincé entre deux mois. Et la pierre autour de mon coup s'est soudainement brisée, alors que ma tête arrêtait lentement de bourdonner. Après ça, à bout de force, je me suis écroulé. Lentement, le sentiment de honte m'envahissait. J'avais peur du regard d'Endou. J'ai été étonné lorsqu'il s'est simplement avancé vers moi pour m'aider à me relever. Il nous a proposé un match de foot à la loyale, comme si rien ne s'était passé. Le coeur gros, j'ai accepté. Je le reconnaissais bien là. On a même fini à égalité. Ensuite, on a fait mime d'oublier. Mais moi, je m'étais rendu compte d'une chose idiote. J'aimais vraiment bien Endou. Ce n'était plus de simples divagations. Les cours ont repris, j'étais resté avec le club de foot. Ma vie a de nouveau pris de la vitesse lorsque j'ai été choisis pour faire partie de la sélection national. Pas tout seul, biensure ! Je connaissais au moins de vue la plus part des autres personnes sélectionnées. Il y avait même Reize, qui se présenta sous le nom de Midorikawa Ryuuji ! Très surpris et sur mes gardes lors que je l'ai vu, je me suis vite rendu compte qu'il semblait changé. Ayant été moi-même sous le contrôle de la pierre, j'allais vite pouvoir accepter ses excuses et même l'apprécier. Oui, mais surtout et sans surprise, il y avait Endou. Le Football Frontier International commencerait par les selections asiatiques. Nous avions donc très vite fait connaissance avec notre nouveau coatch Kudou et sa fille, qui rejoindrait les manageuses. Nous avons enchainé les victoires et réussit à aller jusqu'en final. Le dernier match contre la Corée allait s'avéré être un véritable défis, heureusement, malgré les entrainements difficiles, nous avions du temps libre pour évacuer le stress. Alors qu'un jour je passais du temps avec Midorikawa, avec le quel j'avais beaucoup sympathisé, on a apperçu Zaizen, Kabeyama, Kurimatsu et Urabe espionner quelqu'un - pas très discretement - planqués derrières des buissons. En me rapprochant, j'ai pu constater que c'était Kudou Fuyuka et Endou ! J'en parle parce que, sur le moment, ça m'a beaucoup déstabilisé. Aussi loin que je me souvienne, Endou ne m'avait jamais dis avoir passé du temps en tête à tête avec une fille et pour cause, il ne s'y intéressait pas ! Pour lui, il n'y avait que le football qui comptait. Je me sentais bizarre. Heureusement que j'ai appris par la suite que ce rendez-vous était une manigance d'Urabe ! Ca ne m'étonnait pas du tout d'elle. Quand même ... Quelle idée idiote. Mais. Je me demandais. Suite à ça. Si je ne devais pas parler à Endou de ce qui me tracassait depuis qu'on avait dissous l'équipe des Dark Emperors. Bien sure, je ne l'ai pas fait, en me disant que j'aurais tout le temps par la suite, quand on en aurait finit avec le tournois. Les jours passèrent et on arriva à la final. On finit même par battre la Corée, mais à quel prix ? Fubuki, blessé, et Midorikawa, épuisé, ne purent pas venir avec nous sur l'île de Liocott ou se déroulait la seconde et la plus importante phase du tournois. Nous allions affronter les équipes les plus fortes du monde ! C'était dingue. La première équipe que nous allions devoir affronter était justement Knight of Queen d'Angleterre. Ils nous avaient invité à une soirée et je me souviens combien c'était amusant de voir les gars de l'équipe habillé pour l'occasion ! Surtout Endou qui quittait rarement son maillot de foot ! Le jour du match arrivé, nous les avons battu non sans mal, ce qui nous motiva par la suite. Malheureusement, le jour du second match, qu'on devait disputé contre l'Argentine, Endou ne pu arriver à temps sur le terrain et la match se déroula sans lui, Kido, Sakuma et Fudou. Je pris donc la place de capitaine le temps du match, mais blessé sur le terrain, je du la céder trop vite à Gran ... Enfin, Kiyama Hiroto ! Ce fut notre seule défaite. Mais le reste du Football Frontier International ne se déroula pas pour autant sans encombre puisqu' on appris le retour de Kageyama Reiji qui tenta de détruire Inazuma Japan ! Heureusement, il n'y a pas eu de casse. Avec tout ça, je n'avais plus de pression à revendre pour mon entrée au lycée. C'était dingue, quand même ! Reprendre sa vie comme ça, comme si le temps s'était arrêté à l'aube d'un changement banal. Entre nous, je me sens prêt à affronter l'étape suivante de ma vie d'étudiant. Mais, au sujet de moi-même, il y a beaucoup de chose que je pourrais remettre en question ... Et voilà comment je me retrouve aujourd'hui jeune lycéen, diplomé du collège Raimon et célébrité - si on peut dire - du foot. C'est plutôt un bon début pour la suite de ma vie, non ?


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Ton prénom : Zerroh.
Ton âge : Dix Huit ans.
Tes loisirs : Les jeux de rôle, le théâtre, rêver.

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Dernière édition par Kazemaru Ichirouta le Lun 28 Mai - 19:26, édité 5 fois
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Aussi étrange que ça puisse paraître, je me valide ! u.u
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