Physique et Psychologie

Biographie

Née à Okinawa Gumi n'a pas eu une enfance très difficile. Non loin de là, née dans une famille qu'on peut qualifier de plutôt aisée, tous ce qu'elle demandait fut exaucés. La jeune fille n'a jamais eu à se plaindre, ou tout du moins elle le cachait alors très bien. Et bien qu'elle ne s'en ventait pas, elle ne le cachait pas pour autant. Et bien oui, on pouvait dire que sa famille était riche, mais il n'y avait pas de honte à cela. De plus bien que l'argent n'était pas en manque, elle ne dépensait pas plus qu'une famille disons "normal". Et bien que plusieurs personnes la traitèrent de bourgeoise, elle n'en teint jamais compte. Mais bref. Gumi des son plus jeune âge a développé des capacités à apprendre plutôt étonnante pour son âge. Elle passa de classe en classe, étant à chaque fois la plus jeune de la classe. Puis une toute "bourgeoise" qui se respecte comme les autres la qualifiait si bien, elle appris plusieurs langue. Cinq au total. L'anglais, l'allemand, le français, l'espagnol et l'italien. De plus elle appris la musique et ne put alors s'en décrocher. Elle débuta alors le piano, puis le violon, mais très vite son caractère énergique la fit changer et elle se tourna vers la batterie, l'instrument qu'elle nome aujourd'hui "sanctuaire des ses rêves". Elle arrêta le violon, mais continua le piano et la batterie. Ainsi ses années d'études dans les plus grandes écoles de musique du Japon lui furent très fructueuse.
Lors de son quinzième anniversaire son père décéda alors d'une mort des plus banale qui soit. Il en évoquerait presque de la pitié rien que d'en parler. Il revenait d'un voyage d'affaire, il atteignait les cinquante ans et a fait une crise cardiaque, car les voyages dans le monde entier fatiguaient lourdement son cœur déjà malade. Mais pour autant la tristesse ne pris pas part dans le cœur de la jeune fille. On lui avait appris à ne pas pleurer, et elle ne pleura pas non, elle quitta son père le sourire aux lèvres. Mais évidemment ces émotions étant trop forte, elles prirent le dessus et les sanglots ne s'arrêtèrent que quelques jours plus tard. Mais en partant son père lui laissa une autre passion que la musique. Une passion que seul sa fille en avait connaissance. Le foot. Oui il était assez spécial d'avoir de telle passion dans sa famille, mais malgré tout le père de Gumi était ce qu'on appelle un mordu du foot. Père et fille partagèrent alors cette passion commune. Se réunissait dans le plus grand secret pour les matchs, se qui amusait d'ailleurs beaucoup la jeune fille. Gumi décida alors que pour son père, et aussi pour elle, elle intégrerai une équipe.
La vie continua alors son chemin sans embuche, sa mère ne se laissait pas avoir par l'absence de son mari, bien que submergeait par le travail et tout les papier, Gumi l'aidait au mieux et concédait à chacune de ses demandes sans ouvrir la bouche ne serait-ce que pour protester. Elle savait que sa vie était dur, bien que pour la jeune fille, la sienne était plus facile, sans encombre. Ce qui l'ennuyait d'ailleurs un peu. Toujours tout réussir était lassant, l'étudiante voulait que quelque chose lui résiste.
Puis vint alors les dix-huit ans de la jeune fille. Les fameux dix-huit ans que Gumi attendait tant. Car il était d'une tradition dans la famille Yamaguchi, de laisser l'héritier ou l'héritière s’envoler de ses propres ailes. Enfin c'est plutôt pour reconnaitre les dignes héritiers. La famille "lâchait" l'enfant, seul, ne lui payant que le stricte minimum. Celui-ci devait alors faire sa vie pendant quelques années, trois ou quatre. Puis si sa vie se concrétisait il serait alors reçu dans la famille comme un réel Yamaguchi, au cas contraire, il serait rejeté, souvent avec beaucoup de peine, de la famille jusqu'à ce qu'il se trouve de nouveau digne de leur confiance.
Ainsi Gumi se retrouva alors à voyager dans tout le japon, mais son voyage ne fait que commencer et la premier destination où la jeune fille s'est arrêtée est pour l'instant Nara.